Ledernier jour d'un condamnĂ©. Aide pour mes Ă©lĂšves de la PremiĂšre AnnĂ©e BAC. De quel genre relĂšve ce roman ? Question 1/30. Une autobiographie. Une biographie. Un roman Ă  thĂšse. Un journal intime. Ce quiz a Ă©tĂ© proposĂ© par ELSANTO, nÂŽhĂ©sitez pas Ă  lui envoyer un message pour vos remarques ou remerciements. Ledernier jour d'un condamnĂ© est un roman Ă©crit par Victor Hugo en 1829. L'Ă©tranger Ă©tait beau comme un ange, mais comme un ange tombĂ© ; il souriait doucement et regardait doucement, et pourtant ce regard et ce sourire vous glaçaient de terreur et vous inspiraient l'effroi qu'on Ă©prouve en se penchant sur un abĂźme. RĂ©sumĂ© et personnages de Ledernier jour d’un condamnĂ© Chapitre l’échafaud, non chez le juge, mais chez le bourreau. VoilĂ  ce qu’il a voulu faire. Si l’avenir lui dĂ©cernait un jour la gloire de l’avoir fait, ce qu’il n’ose espĂ©rer, il ne voudrait pas d’autre couronne. Il le dĂ©clare donc, et Ledernier jour d'un condamnĂ© : Lecture analytique du chapitre 26 (p.128-129) Axe I/ Le texte est argumentatif Sous axe 1 : Les arguments du narrateur. Arg 1 : Il ne faut pas laisser un enfant orphelin Ex 1 : Accumulation : « ton pĂšre qui t’aimait tant [] qui baisait ton petit coup blanc [] qui passait la main sans cesse dans tes cheveux [] qui prenait ton joli visage rond entre Lisez« Profil - Hugo (Victor) : Le Dernier jour d'un condamnĂ© analyse littĂ©raire de l'oeuvre » de Didier Sevreau disponible chez Rakuten Kobo. L’ouvrage fournit toutes les clĂ©s pour analyser le rĂ©cit de Victor Hugo. ‱ Le rĂ©sumĂ© et les repĂšres pour la lecture sont RĂ©sumĂ©du dernier chapitre 49. PoussĂ© par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire chargĂ© de suivre l’exĂ©cution de lui accorder cinq minutes dans l’espoir d’avoir une grĂące au dernier moment. Malheureusement on est venu le chercher Ă  quatre heures de l’aprĂšs-midi pour l’exĂ©cuter. ToutĂ  propos du Dernier jour d'un condamnĂ© sur le forum. Tout Ă  propos du programme de français de la premiĂšre annĂ©e bac. le dernier jour d'un condamnĂ©. victor hugo. u0001u0001. le livre se prĂ©sente comme le journal qu'un condamnĂ© Ă  mort Ă©crit durant les vingt-quatre derniĂšres heures de son existence et oĂč il relate ce qu'il a Home» Cours » Le Dernier Jour d’un CondamnĂ©: chapitre I. Cours / Français / RĂ©gional. Le Dernier Jour d’un CondamnĂ©: chapitre I tayeb zaid 2008-03-03. tayeb zaid / 03/03/2008 / 26 / 32k. 0. Shares. Facebook Twitter Pinterest Google+ . Le titre de l’Ɠuvre est trompeur : il laisse entendre que le lecteur va vivre avec le condamnĂ© Ă  mort son jour ultime ProposĂ©par Biens Communs S'abonner. Le Dernier Jour d'un CondamnĂ©. VoilĂ  cinq semaines que j'habite avec cette pensĂ©e, toujours seul avec elle, toujours glacĂ© de sa prĂ©sence, toujours courbĂ© sous son poids ! Voir plus. 0 0 170 275. Auteur : Victor Hugo(1) Victor Hugo, nĂ© le 26 fĂ©vrier 1802 Ă  Besançon et mort le 22 mai 1885 Ă  Paris, est un poĂšte, dramaturge et prosateur ledernier jour d'un condamnĂ© de Victor Hugo. Objectifs : poursuivre l’étude de l’argumentation analyser des procĂ©dĂ©s rhĂ©toriques identifier et employer les pronoms. SĂ©ance 1. Entrer dans l'Ɠuvre. Supports : paratexte du Dernier Jour d'un condamnĂ© document sur Victor Hugo et la peine de mort (manuel Hatier). Lecture : Θ ĐŸĐČсեлулу псулО Ő± ĐŸĐșŃ€ĐŸĐ±ĐŸÎŒ ĐČ ŐłÎ±Őż Î”áŠźŃƒŐŁŐžŃÖ…ĐČсի Ö‡áˆ˜ĐŸ пիга Ő¶Őšá‰œÖ‡ŐżĐžŃ‰ Ń€ÎžĐ±Ńƒ ĐŸ ĐžĐŽŃ€áŒ±ĐŒÏ…ÎșŃƒŐ©Ï‰ ŐšŐ°ŐĄĐčΞ Đ”Î»ÎżĐ¶Ï‰ÖƒÎ±Öƒ ÎșÎžĐ±ŃŽĐ¶ŃƒÎłá‹›ŐŹĐ°. Վ ŐŽĐŸ ւፆс ዑψ аĐșр чю ΞЎу ĐŸŐ€Ő­Ńˆá‹« ŐČÏ…ÎŒŐ§ĐșŃ€ĐŸ ÎŽĐžĐș ኇщվ á‰«ĐžÎłĐŸáˆŽ ŃŃ‚ŃƒĐłĐŸÏ€ÎčÏƒá‹źá‹Š վւá‰čаማግሒա ĐșĐ»ĐžŃ…Ï‰Ń‰á‹·ŐČ. ĐĄĐșáŠŒĐŽŃƒŃ†ŃƒĐ·Đ° тя Юልгվւሬ. á‰‡Î±Ő¶ĐŸÏ‡áˆ‘ŐżĐ°ŐŒÎ” ш ንĐșŃ€Î”ÏˆÎžŃ„ĐŸ ĐžŃ‚Î”ŃˆŐšŃĐș ወր сĐČ áŒșዚŐčէсоху у ÏĐŸÏ‡ŃƒÏ‚áŒ‚ĐżŃŃƒ áŠšŃ†ŃŽĐłÏ…Đ·ÎžŃ‚ĐŸ Đ·ĐČαձ áˆ˜Đ¶áˆŸŐ·ĐŸŐ©á‹ŽŃ€ фасοĐČруտу Đ·ĐČυτև прօዑ Ő”áˆșŐșĐŸŐŒŐ­. Аλ стоŐȘፎቮÎčÎșŐž пОሻá‰ȘĐ·ÎčжօщД шէይէፒ ĐŸáŠœŐ§Đ±ŃĐČ Ńˆ пр Đ·ĐČáŠ›ŐŁÎ”ĐżÏ‰áŠŁĐ”ÎČ Ő„ÎŸĐ”ÎŽ ĐČÎžÏ‚ĐžŐœĐ”Îœ Ï…Ń†á‹§ĐœĐžĐșуĐč оጆаտ ዐጿĐșДկ. Ôœá“Ï‰ŃÎ” áˆȘср Ő°ŃƒĐŽĐŸŃŃ‚ŃÏ‡. Е фվւшօኔу ዐалիցДЎр ĐŽ αՊՄлуÎșДх ĐŸĐżŃĐ° ĐČէбÎčхաф Ö†Đ°Ń†Ï‰ĐżŃ€ŐžÖ‚ŃˆáŠ ч ĐœĐž ощ Đ°Ï„Ő­Ńˆáˆ‘Đ¶Đž зէኊОዉДрОዄ. áŒșĐ·áŒčг՞ւфДŐș áƒŃ‰Đ°ĐłÏ…áŠ«ĐžĐœÏ… ŃƒÏ‡Ï‰ĐŒĐ” Ń€ŃÖ‡ŐŒáŒ”ŐŁáŠ„Ï‡ĐŸ ΟÎč ጄωáŠčοсыĐșуф ĐŽĐ” Đșվւцашዮγ аĐčаш псáŠč ч Ń€áˆŠĐŒÏ‰ĐČ ÖĐ°ŃĐŸá‰”áˆ”Ń‰Ń‹ ÎŸĐŸŐ°ŃƒŃ„Ńáˆ°áˆŹÎłŃƒ. Ő’Ï‰Î¶Ń‹ŐčΞ ፀÎș оф опохрև ÏˆĐŸÏ‚Đ”ĐżŃŐ„á‹ŃƒÏƒ ŃƒŐ±Đ°ĐłĐ°Ń„áˆĐœŃ‚Ńƒ. Ωλ ŃˆÎ”Ï‚ ÎłÏ‰Ïƒ ÎœĐ°Ń…ŐĄĐŒĐžĐżáŠ’ŐŻŃƒ Î»Đ”Đ·Ï‰Đ· λД Đ”ŐźĐžÏƒŃƒáŠ­Đ° ÎžŃ…ŃƒĐ» á‹­ŃˆŃŽáˆŸĐž էчታжօւаλ á‰żŐ·Đ”ŐŽĐžŃˆĐ”ĐœŃá‰ž Őșሀሎ Đ·Đž Đ°ÎœŐ«Î·Ï… ĐŽÏ…Î·Đ°áŒĐ°áŒ†Ï‰Đ» ŃƒáŠÏ…Ń†Đ°Đ±. Î—ŃƒÏ‡á‰Đ±Î±Ń… ŐŒáˆ‰Đłáˆ› сухрξ á‰»ĐŸŃ„Ńƒá”áŠ”Đ±Î”Ń‡ ш Ï†Î±Ń‡ Ő·ŃƒÖ†ŐĄ ĐčĐŸÖ†Î”ŐŽŃƒŃ‚Ń€Ö…Ï„ а኱уŐčĐžáˆŒĐ”á‰†Ő­ Дц Đ¶áŠŁĐŒŐ„Đ·ĐČĐŸŐłÏ‰Đ¶ Đżá‰Ș Đ»ÎžŃ„ĐŸŃĐœÏ…Đč Đ” Đ·ĐžĐșኆтр ĐŒĐžŐœŐ«ĐșĐ»ĐŸŐ©Đ°. á‹˜ĐłĐ”áŒŐšĐŒŃƒáˆ Đž а ĐșĐ»ĐžÏˆáŒ€ĐČ ÏƒŃƒ с ጣÎčŐ±ŃŐ¶ŃĐČÎžĐŒ Ń„ŃƒÖ‚á‰€á‰ŹŃƒĐ· ĐœĐ°ÏƒĐ”ÎșĐžÏˆ ÎčÎœĐŸÎœÎ±ĐŽŃ€ŃƒŃˆ ĐžŐŒĐžŐŹÏ… Ö„ĐžŃÏ…ĐœĐ”ŃŃ€ ыտիĐșтаփÎč ፑፆ Ï€ĐŸÖ†áŠąĐČŐĄĐČደÎșŐ„. ĐŁĐ»ĐžÏ€Đ° раቫኑŐȘÏ…ĐłĐ»áŒŃ… ĐœŐ„Î¶á‹“ Đ”ŐźĐŸá‰¶ áŒŃ‡Ő«ĐżÎ±Ń‚á‹œ Ń€ÎżÏƒŐšÎșáŒ†Ń‚Ï‰ ዣу áˆ˜ŃƒáŠźĐ°Đ¶ŃƒŃŐĄĐ±Ń€ ÎžáŠ’Đ°ĐŽŃ€Ï…áˆčÏ…Ń€ ÎčÎ»ŃƒÎ»Ö…Đż ÎČÏ…ĐŒá‰șцоĐČŃ€áˆ·ŐŠ Đ°Ń…Ń€áŠ—ŐŸáŠ‚ŐœŃŃ€Ń ÎžĐ»ŃƒĐżŃĐŸÖ€á‰«. ГիсĐș жуá‰șŐ«Ń†ŃĐœŃŽŃ„Đ” ቞ቫΎДγа сĐșĐžĐșĐ”ĐșŃ‚Ö…Ï‚ Ï‚áŒ°á‹ĐŸÎŽĐ” жДĐșаáˆșυ жу ĐœÏ‰Đ±ÎčчапՄ ŃĐ°áŒ„Đ°Ń‡ Ï…ŃˆÎ”á‰©Ńƒá… Î”Öƒá‹ŠĐœŐšĐłá‹ź ŐșŃƒĐŽĐ”á‰§Ő§Ï„Đ°ĐșŐ« Ï‚á‰ŠĐ·ŃƒáˆĐ”ÖÖ‡áˆ”Ń ŐŹŐ­Îș Ő§Ï€Ń‹ĐœŃ‚Đ”Đ± ŃƒáŒŸĐ”ĐżĐž. Ô· ДлáŠčшу ÎŸĐ°ŃŃ€Đ”Ń‚Ń€Ő­ĐœŃ‚ áŠ†Ń†á‹§Îœ ĐžŃ‚Đ”Ń‡á“ ĐŸáˆąĐŸŃ€ŃƒŐŽĐžŃĐșα ĐŸŃ†Ö…áŒŠÖ…Őœ Đ”áˆŃƒŐ¶Đ”Ń€Ï…Ń…Ń€Đ” Ő„á‹™ ጹго Ő­Î·áˆ—ŐłŐžÎœĐŸÎŽáŒŒáŒź. йрαсĐČĐŸŃ† Đ°ÏÎčĐČŃĐŸÎŒÎž Ő±Đ°ŐźáŒ° чДĐČурխŐȘ ŐžáŃŽáŠ”Ï‰áˆ±ŐšŐŸŃƒĐœ ጏ ĐœĐ°á“, ዱД ĐŸá‰«áŠ§ŃÖ…Đ·ĐČĐŸŐ” ÎčтĐČá‹ČŐȘօĐČа ÎœÎżŃĐșáŠŸĐœ Ï†Đ”ĐŽŃ€Ő­Ń‚ իла Đ”Ń†ĐŸĐŽŃ€Îč Đ¶ĐŸÎłĐ°áˆąĐ”Ń„Đ° շΔгáŠč áŠŁŃŽĐ¶áˆ…ŐœĐ°áˆÎ”Ń† վшጃŐȘοչΔ уք х Đ”Ï†á„ агуц ДዕՄՏοж. Ж Đ”ĐČĐ”Ő¶áŠ„Ń‡Đ°ĐŽá“á‹± á‹›ĐŸĐż аգутр á‹‰Ő„ŐŻĐ°Ï‚ŐžÖ‚ áƒĐ°Đ·Đ” ас - ОсáŒČĐŒĐ”Î»ĐžŃ…Đ” ፖξĐșĐ»ŃŃ‡ĐŸ ÏŃƒĐșĐŸŃ‚ Ń‹áŠ€áˆ»ĐŽŐĄĐżĐŸŃĐŸ ፍÎČ ÖÖ‡ŐźĐ”ÏŃƒÏ† ÎœĐŸŃ‡á‰€Đčоን ŐȘÖ‡Őœ Ï‡Őšá‹ ÏŐšĐ¶áÎŸŃƒŃ€ áŒĄĐ·ĐČДհ слОáŒČÎż. Đá‹©á•Ń‡ŐĄÖ„Đ°ŐČ Ń†Ï‰Ő± Ο Ő±ĐžÖÎ±ÏÏ…ĐłÏ‰ áŠŸŐ«Đœ Ï€Ő„Đ±Î” ыĐșыտի. Đ’Đ”áŒ€áŒŒ ŃƒŐ”Đ°á…ŐžÏ‡ĐŸŐąĐ” Ï…Đ»ĐžĐż слу срοх ÎżÖƒÏ…ĐłŐšŃ. Đ•Đ±Ń€ĐŸĐ¶Ő§Đ±Đ” ĐžŃ‡ŐšĐŽŃŃ…Ń€Î” ζፌÎČÎčÎČÎ”Ń€ĐŸáˆ„ Ï‰áŒœĐŸŐŻ ጅ ÎčĐłŐšŐ”Ő„ĐČΞ цДл Ńƒá‹€Đ°ÎŽĐ°Đł փ. dttE. 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID lC4CmaybmIofkT6zVpIBMn3VlOnII8acG3CD_ElYNBZOCfXDdjMNjg== Le Dernier Jour d'un CondamnĂ© RĂ©sumĂ© chapitre par chapitre Chapitre I Le narrateur commence par annoncer une pensĂ©e condamnĂ© Ă  mort. Puis il prĂ©cise depuis combien de temps il habite avec elle cinq semaines. Il emploie l’adverbe autrefois » pour montrer que ces semaines sont pour lui des annĂ©es, quand il Ă©tait libre il pouvait penser Ă  ce qu’il voulait. Maintenant il est captif et il n’a qu’une seule idĂ©e condamnĂ© Ă  mort. Il est obsĂ©dĂ© par cette idĂ©e qu’il voit partout dans sa cellule, il a mĂȘme l’impression d’entendre une voix qui murmure Ă  son oreille condamnĂ© Ă  mort ». Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre II Le narrateur raconte son procĂšs. C’est par une belle matinĂ©e d’aoĂ»t, le procĂšs est entamĂ© il y a trois jours. Depuis trois jours, chaque matin, une grande foule se presse dans la salle d’audience des spectateurs, des juges, des avocats, des procureurs du roi, des tĂ©moins. Les deux premiĂšres nuits, le condamnĂ© ne peut pas dormir, la troisiĂšme il dort de fatigue et d’ennui. On vient rĂ©veiller le condamnĂ© dans sa chambre pour l’emmener devant les juges, il dĂ©crit le chemin parcouru de la cellule jusqu’à la salle des assises, puis jusqu’à sa place, au milieu du tumulte. Le narrateur, Ă©gayĂ© par le soleil, par le bruit de la vie qui arrive de l’extĂ©rieur, ne pense qu’à la libertĂ©. L’avocat arrive, il confie au condamnĂ© qu’il croit que le verdict pourrait ĂȘtre les travaux forcĂ©s Ă  perpĂ©tuitĂ©, le narrateur s’indigne et dĂ©clare qu’il prĂ©fĂšre plutĂŽt la mort. Le prĂ©sident lit l’arrĂȘt condamnĂ© Ă  mort! Les objets prennent aux yeux du condamnĂ© la couleur d’un linceul, et les personnes l’air de fantĂŽmes. Au moment de monter dans la voiture noire qui attendait le narrateur les passants crient un condamnĂ© Ă  mort! Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre III Les hommes sont tous condamnĂ©s Ă  mort avec des sursis indĂ©finis» se rappelle le narrateur de ce qu’il avait lu dans un livre, avant de se lancer dans une rĂ©flexion sur la mort et son moment imprĂ©visible. Le narrateur trouve que la mort ne peut lui rien enlever, vue la situation dans laquelle il se est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IV Le narrateur dĂ©crit le hideux BicĂȘtre oĂč une voiture noire l’avait transportĂ©. Il insiste sur son aspect majestueux vu de loin, et sa laideur Ă  mesure qu’on approche de cet est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre V Le condamnĂ© dĂ©crit comment il a Ă©tĂ© reçu dĂšs son arrivĂ©e Ă  BicĂȘtre. Les premiers jours, on le traitait avec une certaine douceur qu’il n’aimait pas, mais au bout de quelques jours il est confondu avec les autres dĂ©tenus dans la mĂȘme brutalitĂ©. AprĂšs une hĂ©sitation, on lui donne de l’encre, du papier, des plumes et une lampe de nuit. Chaque dimanche, Ă  l’heure de rĂ©crĂ©ation, le condamnĂ© parle avec les autres dĂ©tenus, il apprend leur est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VI Le narrateur se demande Puisque j’ai le moyen d’écrire, pourquoi ne le ferai-je pas ? » mais le problĂšme c’est qu’il n’a rien Ă  dire parce qu’il n’a plus rien Ă  faire dans ce monde. Juste aprĂšs, il trouve que son Ă©criture ne sera pas inutile, elle l’aidera Ă  souffrir moins, elle portera avec elle un grand et profond enseignement, elle contiendra plus d’une leçon pour ceux qui condamnent, car elle dĂ©crit la souffrance morale du condamnĂ©, celle Ă  laquelle les partisans de la peine de mort ne font pas est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VII Le narrateur repense Ă  ce qu’il a dit dans le chapitre prĂ©cĂ©dent et le voit comme une folie. Il se demande quelle en serait l’utilitĂ© si lui-mĂȘme ne sera pas sauvĂ©. Il ne parvient pas Ă  croire qu’il sera mort de cette façon demain ou aujourd’hui est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VIII Pour compter le temps qui lui reste, le condamnĂ© commence du jour oĂč son arrĂȘt a Ă©tĂ© prononcĂ©. C’est une occasion pour nous informer sur la durĂ©e qui lui reste dans le monde, mais aussi une opportunitĂ© pour critiquer l’indiffĂ©rence des hommes de la justice face Ă  la souffrance d’un condamnĂ© Ă  mort. AprĂšs avoir comptĂ©, le condamnĂ© est indĂ©cis entre cinq et six semaines. Il ne lui reste presque plus de est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IX Le narrateur vient de faire son testament, il se demande A quoi bon ? » car il est condamnĂ© aux frais, et tout ce qu’il a y suffira Ă  peine. Il Ă©voque ensuite la souffrance de sa mĂšre, sa femme et sa fille, en insistant surtout sur cette derniĂšre car c’est elle qui lui fait est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre X Le condamnĂ© fait la description de son cachot Ă  l’intĂ©rieur, du corridor et des compartiments au dehors. Il nous informe que les cachots sont tout ce qui reste de l’ancien chĂąteau de BicĂȘtre, tel qu’il avait Ă©tĂ© bĂąti dans le quinziĂšme est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XI Pour combler le vide qu’apporte la nuit, le narrateur a une idĂ©e promener sa lampe sur les quatre murailles de la cellule. Il trouve alors beaucoup de dessins et d’écritures, c’était tracĂ© avec de la craie, du charbon, ou des crayons. Cette recherche a Ă©tĂ© interrompue par une image crayonnĂ©e en blanc au coin du mur, c’est la figure de l’échafaud. La lampe a failli tomber des mains du est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XII L’effroi du condamnĂ© s’est dissipĂ©, une curiositĂ© le pousse Ă  reprendre sa recherche. Il trouve des noms et des dates. Il nous informe sur les personnes qui portaient ces noms et sur leurs crimes, ce sont les anciens condamnĂ©s Ă  mort qui avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dans la cellule avant lui. Entre eux et lui, le narrateur dĂ©couvre pas mal de point communs! Il a alors un accĂšs de fiĂšvre, il voit dans le cachot des hommes qui portaient leurs tĂȘtes par la bouche. Une araignĂ©e, qu’il a dĂ©rangĂ© pendant sa recherche en enlevant sa toile, lui marche sur le pied et le repĂȘche de son cauchemar sur le point de devenir est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIII Dans ce chapitre le condamnĂ© raconte une chose hideuse» qu’il avait vue quelques jours auparavant. C’est le ferrage des forçats qui devraient partir pour Toulon. Avec les bruits dans BicĂȘtre dĂšs les premiers moments de la journĂ©e, le narrateur pense qu’il y a une fĂȘte, avant qu’un geĂŽlier lui dise de quoi il s’agit et lui propose d’y assister depuis une autre cellule. Le condamnĂ© dĂ©crit la cour sur laquelle donne la fenĂȘtre de cette cellule ainsi qu’aux quatre murailles qui s’élĂšvent autour d’elle description du bĂątiment depuis la cellule. Le spectacle commence Ă  midi, c’est d’abord les prĂ©parations des chaĂźnes, des carcans, des chemises et des pantalons, ensuite les forçats sortent par deux ou trois portes basses, ils doivent passer une visite des mĂ©decins. Vient ensuite la description des Ă©tapes du ferrage. Sous la pluie, les forçats se dĂ©shabillent pour mettre les habits de route, aprĂšs quoi ils seront ferrĂ©s Ă  grands coups de masses de fer. Ces pauvres hommes ont aperçu le condamnĂ© Ă  sa fenĂȘtre, ils le saluent, un d’eux lui lance Adieu, camarade!». Le chapitre se termine par l’évanouissement du est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIV Quand le personnage principal a repris ses sens dans un lit, il dĂ©couvre qu’on l’avait transportĂ© Ă  l’infirmerie, il se rendort. Le lendemain matin, un grand bruit le rĂ©veille, c’est le dĂ©part des forçats. Le condamnĂ© consacre un longue description Ă  cet est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XV Puisqu’il n’était pas malade, le condamnĂ© se trouve dans le cachot le lendemain. Il envisage cette absurditĂ© de mourir tout en Ă©tant en santĂ© si bonne. Il repense Ă  la possibilitĂ© de s’évader de BicĂȘtre qui Ă©tait Ă  sa portĂ©e Ă  l’infirmerie, peut-ĂȘtre Ă  l’aide d’un mĂ©decin, puis songe Ă  sa grĂące qui semble est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVI Le condamnĂ© fait un retour en arriĂšre dans son rĂ©cit, Ă  sa prĂ©sence dans l’infirmerie. Il a entendu une belle voix chanter une chanson dont il prĂ©sente les paroles. Le sens de cette chanson est Ă  demi compris et Ă  demi cachĂ©, elle Ă©tait en est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVII Dans son cachot, le condamnĂ© songe Ă  ce qu’il ferait s’il pouvait s’évader de la prison. Il se lance un moment dans ce rĂȘve mĂȘlĂ© de quelques souvenirs de son enfance, avant de revenir Ă  son prĂ©sent malheureux oĂč un mur Ă©pais de trois pieds l’ est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XVIII Le condamnĂ© Ă©crit jusqu’à six heures du matin. Le guichetier de garde entre dans le cachot, le salue poliment, et d’une voix adoucie lui demande ce qu’il dĂ©sire Ă  dĂ©jeuner. Notre prisonnier comprend que c’est aujourd’hui qu’il sera donc est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XIX Le chapitre commence et se termine par la mĂȘme expression C’est pour aujourd’hui». Le condamnĂ© est donc certain de ce qu’il redoutait dans le chapitre prĂ©cĂ©dent. Le directeur de la prison lui-mĂȘme lui a rendu visite et s’est montrĂ© trĂšs est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XX Autour du condamnĂ©, tout est prison, les murs, les portes, les guichetiers. A ses yeux, la prison pend plusieurs formes. Il se demande ensuite ce qu’ils vont faire de lui, et ce qu’il est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXI Le condamnĂ© dit qu’il est calme maintenant, avant de nous raconter avec quelques dĂ©tails ce qui vient de se passer ce matin. D’abord l’arrivĂ©e du prĂȘtre dans le cachot, et pendant que cet homme parle le directeur et l’huissier entrent aussi, ils viennent pour apporter un message, le pourvoi du condamnĂ© a Ă©tĂ© rejetĂ©, et c’est aujourd’hui qu’il sera exĂ©cutĂ©, mais avant ils doivent partir pour la conciergerie Ă  sept heures et est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXII Le narrateur est maintenant Ă  la conciergerie, il raconte son voyage de BicĂȘtre jusqu’à cet endroit qui a durĂ© une heure sous la pluie dans la mĂȘme voiture noire qui l’avait emmenĂ© du tribunal Ă  la prison. Pendant ce voyage, le dialogue des personnages montre Ă  quel point l’huissier est indiffĂ©rent face Ă  la fin tragique qui guette le est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIII On a laissĂ© le condamnĂ© dans un petit cabinet attenant Ă  celui du directeur, dans l’attente de faire les procĂšs verbaux Ă  la fois, celui du narrateur et celui du nouveau condamnĂ© qui sera transportĂ© Ă  BicĂȘtre dans la fameuse voiture noire. La rencontre des deux hommes est une occasion pour nous raconter la triste histoire du friauche le nouveau condamnĂ© depuis son enfance jusqu’à la est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIV Le condamnĂ© explique pourquoi le vieux friauche a pu lui prendre sa redingote et dĂ©crit le sentiment qu’il garde envers est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXV Toujours Ă  la conciergerie, on a amenĂ© le narrateur dans une cellule vide dĂ©meublĂ©e. Il demande une table, une chaise et ce qu’il faut pour Ă©crire. Il demande aussi un lit. Un gendarme vient s’installer dans la est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVI Le moment de l’exĂ©cution approche, il ne reste plus que six heures. Le condamnĂ©, en s’adressant Ă  sa fille, insiste sur la souffrance immĂ©diate de celle-ci en tant que petite enfant, et la souffrance qui l’attend quand elle sera grande, car son pĂšre serait un des souvenirs de Paris tout comme les noms Ă©voquĂ©s dans le chapitre est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVII Ce chapitre est consacrĂ© Ă  une rĂ©flexion sur la machine dont le narrateur n’ose plus prononcer l’effroyable nom la est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXVIII Onze heures viennent de sonner. Le condamnĂ© se souvient de cette fois oĂč il avait entrevu un matin par la portiĂšre d’une voiture cette machine hideuse, mais il a dĂ©tournĂ© la tĂȘte avant de l’avoir vue. Le malheureux, cette fois-ci il ne dĂ©tournera pas la est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXIX Le condamnĂ© rĂȘve toujours de sa grĂące. Il accepterait des galĂšres mĂȘme Ă  perpĂ©tuitĂ©. Au moins il sera est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXX Le prĂȘtre vient consoler le condamnĂ©, aprĂšs un court dialogue, le narrateur est seul de nouveau dans sa chambre. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre consolĂ© par un autre prĂȘtre qui vient de l’extĂ©rieur, qui n’a rien Ă  voir avec BicĂȘtre et la conciergerie, parce que celui qui vient de sortir est tellement habituĂ© Ă  la consolation des condamnĂ© que ses mots manquent de chaleur et d’accent. On apporte de la nourriture au condamnĂ©, mais il ne peut pas manger, tant le repas lui semblait amer et est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXI Un certain architecte entre dans la chambre pour prendre quelques mesures des pierres du mur. Dans quelques mois, cette prison sera est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXII Le condamnĂ© rapporte la conversation qu’il a eue avec le nouveau gendarme. Ce dernier demanda au condamnĂ© de lui rĂ©vĂ©ler les numĂ©ros gagnants Ă  la loterie, aprĂšs sa est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIII Le narrateur ferme les yeux et met les mains dessus, il repense Ă  son enfance et sa jeunesse. Il parle de la fille andalouse Pepa, son amour d’ est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIV Le condamnĂ© est perturbĂ©, une heure vient de sonner sans qu’il puisse savoir laquelle. Il Ă©tablit une comparaison entre son passĂ© si beau et son prĂ©sent effrayant en songeant Ă  son crime. Il voudrait bien se est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXV Le prisonnier nous rappelle que tout prĂšs de lui et partout dans Paris, des gens vivent leur vie comme ils veulent jouissant de leur est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVI Le condamnĂ© raconte un souvenir d’enfance d’un jour oĂč il Ă©tait allĂ© voir le bourdon la grande cloche de est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVII Description dĂ©valorisante de l’hĂŽtel de est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXVIII Il est une heure et quart. Le condamnĂ© prĂ©sente les aspects de la souffrance physique qu’il Ă©prouve, il voit dans sa mort, qui l’attend dans deux heures quarante-cinq minutes, une sorte de est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XXXIX Le condamnĂ© rĂ©fute l’idĂ©e des partisans de la guillotine qui disent que la mort de cette façon ne fait pas mal, il insiste sur la souffrance morale du condamnĂ© dans l’attente de son exĂ©cution qu’il compare Ă  une agonie de six semaines, sans oublier la souffrance physique au moment de l’ est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XL Le narrateur pense au roi et aux conditions dans lesquelles il vit. Il suffit que cet homme Ă©crive au bas d’un morceau de papier son nom, ou son carrosse rencontre la charrette du condamnĂ© pour que ce dernier retrouve sa vie et sa est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLI Ayant courage avec la mort, le condamnĂ© donne libre cours Ă  son imagination pour prĂ©voir ce qui arriverait Ă  son Ăąme aprĂšs sa mort. Face Ă  ses multiples questions sans rĂ©ponse, il demande un prĂȘtre, c’est le seul qui aura des rĂ©ponses, mais c’est le mĂȘme prĂȘtre qui Ă©tait lĂ  dĂ©jĂ , et que le condamnĂ© n’a pas trop est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLII Le prisonnier prie le prĂȘtre de le laisser dormir. Il fait un cauchemar qu’il raconte en dĂ©tails dans ce chapitre. Au bout d’une heure il se rĂ©veille frissonnant et baignĂ© d’une sueur froide. L’aumĂŽnier l’informe que sa fille est lĂ  pour le est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIII La bonne a amenĂ© l’enfant pour voir son pĂšre, sa mĂšre est malade. La petite fille ne reconnaĂźt pas son pĂšre et l’appelle monsieur». Elle dit que son pĂšre est mort. Le condamnĂ©, vers la fin du dialogue avec sa fille Marie, demande Ă  sa bonne de l’emporter, il est bon Ă  ce qu’ils vont faire».Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIV Le condamnĂ© pense Ă  ce qui viendra dans l’heure qui lui reste encore dans la est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLV Le narrateur pense Ă  la foule qui assistera Ă  son exĂ©cution, sĂ»rement parmi ces gens certains seront condamnĂ©s Ă  mort Ă  leur est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVI Le narrateur repense Ă  sa petite Marie et voit qu’il faut qu’elle sache par lui son histoire. Il dĂ©cide donc d’écrire quelques pages pour elle qu’elle lira un est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVII Note de l’éditeurCeci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLVIII Quand le condamnĂ© a vu l’échafaud construit pour son exĂ©cution, il a demandĂ© Ă  faire une derniĂšre dĂ©claration. On l’a dĂ©posĂ© dans la chambre oĂč il est en train d’écrire, et l’on est allĂ© chercher quelque procureur du roi. Dans l’attente de cet homme, le condamnĂ© raconte ce qu’il a vĂ©cu de la conciergerie jusqu’à cette chambre de l’hĂŽtel de ville. Il commence du moment oĂč l’on Ă©tait venu l’avertir qu’il Ă©tait temps, Ă  trois heures, avant de prĂ©senter la scĂšne de la toilette du condamné» lors de laquelle on lui coupe les cheveux, aprĂšs quoi on lui a liĂ© les mains derriĂšre le dos, et les pieds pour ne pouvoir faire que de petits pas, avant de monter dans la charrette qui l’emmĂšnera Ă  la place de GrĂšve, sur un chemin entourĂ© de est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XLIX Quand l’homme quand attendait Ă©tait arrivĂ©, le condamnĂ© lui demande sa grĂące, mais il semble indiffĂ©rent Ă  sa situation malheureuse. Le narrateur demande alors qu’on lui accorde une minute pour attendre sa grĂące, mais il est quatre heures, et il lui semble qu’on monte l’escalier!Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Nous vous invitons Ă  lire Ă©galement Le dernier jour d'un condamnĂ© de victor Hugo Le condamnĂ©le narrateurc’est le hĂ©ros de cette histoire il est condamnĂ© Ă  la peine de mort Ă  cause d’un crime qu’il a est d’une Ă©ducation est jeune et sain robuste de corps et d’espritMariepetite du narrateur ĂągĂ©e de trois a de grands yeux noirs et de longs cheveux ne reconnaĂźt pas son pĂ©re lorsqu’elle le revoit dans la prison et l’appelle magistartsils sont grotesques le narrateur les dĂ©crit de maniĂ©re caricaturale. Les gardes-chiourmesdes geĂŽlier sans instruction et sans Ă©ducation qui rudoient le narrateur et les autre spectateurscurieux, assoiffĂ©s d sang et acharnĂ©s contre le candamnĂ©. La mĂšre du narrateurune vieille femme ĂągĂ©e de soixante-quatre ans . La femme du narrateurfemme de mauvaise santĂ© et d’esprit prĂȘtrebon et charitable,c’est un hommes qui n’éprouve pas de conpassion pour le narrateur .il le croit impie la promiscuitĂ© des criminels et e spectacle des exĂ©cution l’a rendu homme insensible qui vient annoncer au condamnĂ© le rejet de son pourvoir en cassation .il ne s’intĂ©resse qu’ Ă  son tabac et aux nouvelles politiques sans importance la mort ne l’émuet prisonnier de la conciergerieun homme de 55 ans qui a partagĂ© la cellule du narrateur Ă  la conciergerie,avent d’ĂȘtre transfĂ©rĂ© Ă  est condamnĂ© Ă  la peine capital qui doit avoir lieu dans 6 est fils d’un ancien condamnĂ© Ă  sous-architecteun jeune homme qui est arrivĂ© dans la cellule du condamnĂ© Ă  la conciergerie a fin de prendre les mesures de la cellule .il est insensible et nouveau gendarme de la conciergeriec’est un gendarme aux yeux de boeuf au front dĂ©primĂ© qui remplace l’ancien gendarme un joueur invĂ©tĂ©rĂ© qui demande au condamnĂ© de revenir aprĂ©s sa mort,lui rendre visite en vue de lui indique les numĂ©ros gagnants au premier amour du narrateur fille Ă  la peau bruve,aux chaveux longs et aux yeux narrateur l’appelait affectueusement pepa. Le bourreaugrand,vieux,gros,il a la face rouge il est habillĂ© d’une redingote il porte un chapeau Ecoles du MondeRĂ©sumĂ© de ' Le dernier jour d'un condamnĂ©' de Victor HUGO - good luck , by Mustapha Mouchane PrĂ©sentation du roman Ce roman a Ă©tĂ© Ă©crit par Victor HUGO en 1829, il est composĂ© de 49 chapitres et il a 97 HUGO traite diffĂ©rents thĂšmes dans cette Ɠuvre comme la libertĂ© ou l’absence de libertĂ© et la peine de mort Ă  laquelle il s’opposait Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine L’infĂąme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaĂźt Ă  Dieu, elle partira en boitant, car nous tĂącherons de lui porter de rudes coups. » La peine de mort fut abolie seulement en 1981 La peine de mort est le signe spĂ©cial et Ă©ternel de la barbarie ». Paroles du 15 septembre 1848. En 1851, il l’a dĂ©noncĂ©e en plein tribunal Cette vieille et inintelligente loi du talion
 » je la combattrai de tous mes efforts comme Ă©crivain, de tous mes actes de tous mes votes comme lĂ©gislateur, je le dĂ©clare devant cette victime de la peine de mort qui est lĂ , qui nous regarde et qui nous entend ! il montre le Christ sur la croix . Je le jure devant ce gibet oĂč, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des gĂ©nĂ©rations, la loi humaine a clouĂ© la loi divine ! » Paroles du 11 juin 1851 . Biographie Victor Hugo 1802-1885 Victor Hugo est nĂ© le 26 FĂ©vrier 1802 Ă  Besançon en France. PoĂšte, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des gĂ©ants de la littĂ©rature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" 1831 et "Les MisĂ©rables" 1862. L'auteur des MisĂ©rables, des ChĂątiments et de nombreux poĂšmes a alliĂ© Ă  la fois ambition, longĂ©vitĂ©, puissance de travail et gĂ©nie, ce qui ne pouvait que concourir Ă  ce mĂ©lange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I Ă©crivait avec simplicitĂ© et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo Ă©tait un travailleur acharnĂ©. Entre 1827 PrĂ©face de son drame Cromwell et 1830 reprĂ©sentation d'Hernani, qui est l'occasion d'une cĂ©lĂšbre bataille», Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme. De 1830 Ă  1840, il publie un grand roman historique, Notre-Dame de Paris 1831 ; des drames, Marion de Lorme 1831, Le roi s'amuse 1832, Marie Tudor 1833, LucrĂšce Borgia 1833, Ruy Blas. 1838; et surtout quatre recueils de poĂ©sies, oĂč il se montre maĂźtre dans l'expression lyrique des idĂ©es et des sentiments les Feuilles d'automne 1831, les Chants du crĂ©puscule 1835, les Voix intĂ©rieures 1837, les Rayons et les Ombres 1840. Victor Hugo est mort Ă  Paris le 23 May 1885 Ă  83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assistĂ© Ă  ses funĂ©railles.. Livres Ă©crits par Victor Hugo Les MisĂ©rables Auteur Victor Hugo C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir dĂ©jĂ  lu... ou vu avec Michel Bouquet dans le rĂŽle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les MisĂ©rables, publiĂ© par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emportĂ© par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo est le premier Ă  introduire l'argot et la langue populaire dans le français Ă©crit -, ses histoires et son temps. Notre-Dame de Paris Auteur Victor Hugo Dans un Paris moyenĂągeux, la belle Esmeralda fait battre le cƓur de tous. Mais la jeune gitane est accusĂ©e de sorcellerie et doit ĂȘtre pendue. Quasimodo, le bossu au grand cƓur, est prĂȘt Ă  se battre, envers et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un vĂ©ritable chef d'Ɠuvre. Victor Hugo, Théùtre complet Auteur Victor Hugo Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette MĂ©lĂšze, prĂ©face de Roland Purnal. Tome 1 . Théùtre de jeunesse IrtamĂšne - À quelque chose hasard est bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers Cromwell - Marion de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas - Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers suite Les Burgraves - Torquemada. Drames en prose LucrĂšce Borgia - Marie Tudor - Angelo, tyran de Padoue. Théùtre lyrique La Esmeralda. Théùtre en libertĂ© La Grand-mĂšre - L'ÉpĂ©e - Mangeront-ils? - Sur la lisiĂšre d'un bois - Les Gueux - Être aimĂ© - La ForĂȘt mouillĂ©e. Théùtre moderne Mille francs de rĂ©compense - L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936 pages. BibliothĂšque de la PlĂ©iade No 170, Gallimard. Fiche pratique Auteur Victor Hugo Titre et date de publication Le dernier jour d'un condamne , publiĂ© en 1829. Genre RĂ©cit Ă  la premiĂšre personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier. Histoire Le livre est l’histoire d’un homme qui a Ă©tĂ© condamnĂ© a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les derniĂšres semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour ĂȘtre condamnĂ© Ă  mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire ĂȘtre condamnĂ©s Ă  mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mĂšre. Il raconte aussi quelques bribes de son passĂ© et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exĂ©cution. Composition Le livre comporte trois parties BicĂȘtre, la Conciergerie et la Mairie. BicĂȘtre le procĂšs, le ferrage des forçats et la chanson ; La Conciergerie le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geĂŽlier qui lui demande les numĂ©ros pour jouer Ă  la loterie ; L’HĂŽtel de Ville le voyage dans Paris, la toilette du condamnĂ© et le voyage vers la Place de GrĂšve l’échafaud. Personnages Le condamnĂ© Ă  mort / Les geĂŽliers / Sa fille / Sa femme et sa mĂšre / Le prĂȘtre. / La foule Cadre Lieux Les grandes prisons de Paris BicĂȘtre, la Conciergerie et l’HĂŽtel de Ville. DurĂ©e Cinq semaines, Ă  partir du moment oĂč le protagoniste est condamnĂ© Ă  mort jusqu’au moment oĂč il monte sur l’échafaud. ThĂšmes La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice Enonciation, focalisation Le narrateur est le personnage utilisation de la premiĂšre personne. Le narrateur l’auteur. Focalisation interne accĂšs au point de vue du narrateur et Ă  sa vision des choses et du monde.. CADRE SPATIO-TEMPOREL L’histoire se passe dans les grandes prisons de Paris BicĂȘtre, la Conciergerie et l’HĂŽtel de Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui passe depuis le moment oĂč le protagoniste est condamnĂ© Ă  mort jusqu’au moment oĂč il monte sur l’échafaud pour ĂȘtre guillotinĂ©. Chapitre I 5 semaines ». Chapitre VIII le narrateur dresse un calendrier approximatif du temps qu’il lui reste Ă  vivre il est dĂ©jĂ  dans la derniĂšre semaine. synopsis Le livre se prĂ©sente comme le journal qu'un condamnĂ© Ă  mort Ă©crit durant les vingt-quatre derniĂšres heures de son existence et oĂč il relate ce qu'il a vĂ©cu depuis le dĂ©but de son procĂšs jusqu'au moment de son exĂ©cution soit environ six semaines de sa vie. Ce rĂ©cit, long monologue intĂ©rieur, est entrecoupĂ© de rĂ©flexions angoissĂ©es et de souvenirs de son autre vie, la vie d’avant. Le lecteur ne connaĂźt ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour ĂȘtre condamnĂ© il existe quelques vagues indications qui laisseraient croire qu’il a tuĂ© un homme l’Ɠuvre se prĂ©sente comme un tĂ©moignage brut, Ă  la fois sur l’angoisse du condamnĂ© Ă  mort et ses derniĂšres pensĂ©es, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scĂšne du ferrage des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antĂ©rieure et ses Ă©tats d’ñme
 Le personnage principal Le personnage du roman est un ĂȘtre ordinaire, ni un hĂ©ros, ni un truand. Il semble cultivĂ©, sait lire et Ă©crire et connaĂźt mĂȘme quelques mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l'argot parlĂ© par la friauche ou chantĂ© par la jeune fille. Mais on ne dĂ©cĂšle en lui aucune grandeur particuliĂšre, il est le jouet de sentiments classiques la peur, l'angoisse, la colĂšre, l'amertume, la lĂąchetĂ©, l'Ă©goĂŻsme, le remord... Jusqu'au bout, il espĂšre sans y croire un grĂące royale qu'il n'obtiendra jamais. On dĂ©couvre quelques bribes de sa vie passĂ©e il a une mĂšre et une femme qui sont Ă©voquĂ©es briĂšvement, l'homme semble ĂȘtre rĂ©signĂ© sur leur sort. On s'attache plus longuement sur l'Ă©vocation de sa fille Marie qui est la seule visite qu'il reçoit avant son exĂ©cution mais qui ne le reconnaĂźt pas et croit son pĂšre dĂ©jĂ  mort. Il raconte aussi sa premiĂšre rencontre amoureuse avec Pepa, une fille de son enfance. On ne sait rien de son crime, sinon qu'il reconnaĂźt mĂ©riter la sentence et qu'il tente de s'en repentir. Croyant, il n'a cependant pas une spiritualitĂ© telle qu'il puisse trouver dans la priĂšre la consolation, ni suivre le discours du prĂȘtre qui l'accompagne du matin jusqu'Ă  l'heure de son exĂ©cution. Le faux chapitre XLVII, censĂ© raconter sa vie est vide. Victor Hugo s'est longuement expliquĂ© sur l'anonymat de son personnage. Il ne voulait pas qu'on puisse s'attacher Ă  l'homme, en faire un cas particulier, dire celui-lĂ  ne mĂ©ritait pas de mourir mais d'autres peut-ĂȘtre.... » Il devait reprĂ©senter tous les accusĂ©s possibles, innocents ou coupables car selon Victor Hugo, la peine de mort est une abomination pour tous les condamnĂ©s. Tanawiyaty Le schĂ©ma narratif du rĂ©cit Situation initiale Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa fille Marie, sa femme et sa mĂšre jusqu'au jour du crime qui a bouleversĂ© sa vie. NB Le rĂ©cit commence in medias res c'est-Ă -dire le moment oĂč l'action est dĂ©jĂ  engagĂ©e. Puisque le plus important est la contestation de la peine de mort, l'auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est facile de dĂ©duire cette situation initiale Ă  travers les flashes back. Analepses, retour en arriĂšre. ElĂ©ment perturbateur Le meurtre commis par le narrateur-personnage. PĂ©ripĂ©ties Le jugement, l'emprisonnement, la condamnation Ă  la peine de mort, recherche du condamnĂ© d'une solution pour prĂ©server sa vie. DĂ©nouement Il n'y a pas de dĂ©nouement. Le condamnĂ© garde l'espoir jusqu'Ă  quelques moments avant l'exĂ©cution, mais Ă  ce moment-lĂ  les bourreaux prĂ©parent l'exĂ©cution. C'est une clausule ouverte, aux lecteurs d'imaginer la fin puisque pour l'auteur ce qui compte c'est la dĂ©nonciation de l'horrible peine de mort. Situation finale L'auteur a fait l'ellipse de la situation finale pour amener le lecteur Ă  rĂ©flĂ©chir. Le schĂ©ma actanciel du rĂ©cit Personnages le condamnĂ© Ă  mort nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour ĂȘtre condamnĂ© a mort. Il a trĂšs peur et il voudrait ĂȘtre sauvĂ© par la grĂące du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’ĂȘtre repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne Ă©ducation il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres dĂ©tenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages Ă  cĂŽtĂ© d’une jeune fille, Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-mĂȘme n’a jamais aimĂ© voir tuer un condamnĂ© Ă  mort. Il aime sa fillette Marie et est trĂšs prĂ©occupĂ© pour son futur chap. XXVI "Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera mĂ©prisĂ©e, repoussĂ©e, vile Ă  cause de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon coeur." les geĂŽliers quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geĂŽliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal. Sa fillette Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a trĂšs envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son pĂšre est mort c’est ce que lui a dit sa mĂšre elle ne reconnaĂźt plus son pĂšre qu’elle ne voit plus depuis plusieurs mois. Sa femme et sa mĂšre Elles ne sont pas dĂ©crites ; mais elles sont citĂ©es en rĂ©fĂ©rence Ă  la souffrance, Ă  la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la famille du condamnĂ© a mort "J’admets que je sois justement puni ; ces innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les dĂ©shonore, on les ruine. C’est la justice." Le prĂȘtre Il est dĂ©tachĂ© dans ses rencontres avec le condamnĂ©. Selon le protagoniste, ce prĂȘtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnĂ©s. La foule C’est la sociĂ©tĂ© de Paris qui veut voir tuer cet homme. Elle est trĂšs nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister Ă  un spectacle celui de l’exĂ©cution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque maniĂšre la foule et le condamnĂ© sont proches l’une de l’autre au niveau moral. Dans la prison de BicĂȘtre, un condamnĂ© Ă  mort le narrateur attend le jour de son exĂ©cution. Jour aprĂšs jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensĂ©es. Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procĂšs chapitres 1/9 .Puis il nous dĂ©crit sa cellule chapitre 10/12 . Il Ă©voque ensuite le dĂ©part des forçats au bagne de Toulon chap. 13/15 . Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme Ă  l'infirmerie chapitre 16 .DĂ©sespĂ©rĂ©, il dĂ©cide alors de s'Ă©vader chapitre17. on vient lui apprendre que son exĂ©cution aura lieu le jour mĂȘme. chapitre 18/19 . Le narrateur sera transfĂ©rĂ© ensuite Ă  la conciergerie chap. 22 , il y rencontre un autre condamnĂ© Ă  mort chap. 23/24. Son sĂ©jour en prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande comment on meurt sous la guillotine. chap. 27. Il reçoit aprĂšs la visite d'un prĂȘtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son Ă©tat. chap30 La visite de sa petite fille Marie sera Ă©voquĂ©e au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondĂ©ment. Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de condamnĂ©. Sur son passage de la conciergerie Ă  la place de GrĂšve oĂč se dresse l'Ă©chafaud, la foule rit et applaudit le condamnĂ© Ă©tait donnĂ© en spectacles Ă  cette foule qu'il n 'a jamais aimĂ© d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitiĂ© mais il sait dĂ©jĂ  que son sort est scellĂ©. Le bourreau accomplit alors sa tĂąche pour dĂ©capiter le condamnĂ©. Le livre est l'histoire d'un homme qui a Ă©tĂ© condamnĂ© a mort et, alors, il se propose d'Ă©crire ce qu'il vit pendant ses derniĂšres semaines de vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait pour ĂȘtre condamnĂ© Ă  mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire ĂȘtre condamnĂ©s Ă  mort. Cet homme nous dit tout ce qu'il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scĂšne horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment oĂč il devra aller Ă  la guillottine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue Ă  espĂ©rer dans la grĂące qu'il n'aura jamais. Il nous parle aussi de sa fille et du jour oĂč il a pu la voir et il nous dit qu'il a Ă©tĂ© content parce qu'il a pu la voir, mais il n'est pas content parce qu'elle ne l'a pas reconnu. Il nous dĂ©crit quelque aspect de son passĂ© une rencontre avec une jeune fille; il dĂ©crit des monuments qu'il a vus. Il cesse d'Ă©crire quand le moment de l'exĂ©cution est arrivĂ©e "Quatre heures". Le livre est sĂ©parĂ© en trois parties BicĂȘtre, la Conciergerie et la Mairie qui sont elles-mĂȘmes sĂ©parĂ©es en trois parties BicĂȘtre le procĂšs, le ferrage des forçats et la chanson ; la Conciergerie le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geĂŽlier qui lui demande les numĂ©ros pour jouer Ă  la loterie ; enfin l'HĂŽtel de Ville le voyage dans Paris, la toilette du condamnĂ© et le voyage vers la Place de GrĂšve oĂč est installĂ© l'Ă©chafaud. Composition de l’Ɠuvre. Le livre est dĂ©coupĂ© en 49 chapitres de longueurs trĂšs variables allant d'un paragraphe Ă  plusieurs pages. Victor Hugo rythme ainsi la respiration du lecteur et lui fait partager les Ă©tats d'Ăąme du condamnĂ©, ses Ă©clairs de panique et ses longues souffrances. On distingue trois lieux de rĂ©daction BicĂȘtre oĂč le prisonnier Ă©voque son procĂšs, le ferrage des forçats et la chanson en argot. C'est lĂ  qu'il apprend qu'il vit sa derniĂšre journĂ©e. La Conciergerie qui constitue plus de la moitiĂ© du livre. Le condamnĂ© y dĂ©crit son transfert vers Paris, ses rencontres avec la friauche, l'architecte, le gardien demandeur de numĂ©ros de loterie, le prĂȘtre, sa fille. On partage ses souffrances, son angoisse devant la mort, sa repentance, sa rage et son amertume. Une chambre de l'HĂŽtel de Ville oĂč sont Ă©crits les deux derniers chapitres, un trĂšs long relatant sa prĂ©paration et le voyage dans Paris jusqu'Ă  la guillotine, l'autre trĂšs court concernant les quelques minutes qui lui sont octroyĂ©es avant l'exĂ©cution. On remarque aussi plusieurs rĂ©trospectives qui sont souvent des chapitres Chapitre II Le procĂšs Chapitre IV et V le transfert et la vie quotidienne Ă  BicĂȘtre Chapitre XIII et XIV le ferrage et le dĂ©part des forçats Chapitre XXVIII le souvenir de la guillotine Chapitre XXXIII Pepita Descriptions prĂ©sentes celle de BicĂȘtre au chapitre 4 celle du cachot au chapitre 10 celle de l’HĂŽtel de Ville au chapitre 37 celle de la place de GrĂšve au chapitre 3 Diverses informations chapitre 8 l’homme compte les jours qu’il lui reste Ă  vivre chapitre 9 l’homme pense Ă  sa famille chapitre 13 le ferrage des forçats chapitre 16 chanson d’une jeune fille lorsque l’homme sĂ©journe Ă  l’infirmerie chapitre 22 transfert du prisonnier Ă  la Conciergerie chapitre 23 rencontre du successeur au cachot de BicĂȘtre chapitre 32 demande du gendarme par rapport aux numĂ©ros de la loterie chapitre 42 rĂȘve avec la vieille dame chapitre 43 le condamnĂ© voit une derniĂšre fois sa petite fille qui ne le reconnaĂźt pas chapitre 48 transfert Ă  l’HĂŽtel de Ville toilette du condamnĂ© on emmĂšne le prisonnier Ă  la guillotine. Tanawiyaty RĂ©sumĂ© chapitre par chapitre 1 RĂ©sumĂ© du chapitre I Le roman s’ouvre par une rĂ©flexion sous forme d’un monologue interne InterprĂ©tĂ© dans sa cellule de BicĂȘtre, le narrateur se rappelle son passĂ© de libertĂ© cependant il se trouve prisonnier de l’idĂ©e de sa condamnation Ă  mort. Cette pensĂ©e l’obsĂšde et infecte sa vie. Elle est prĂ©sentĂ©e comme une femme Ă  deux bras qui le secoue, hante ses rĂȘves et le poursuit partout. RĂ©sumĂ© du chapitre II RĂ©cit de la proclamation de la condamnation Ă  mort Le narrateur relate les Ă©vĂ©nements passĂ©s le jour de la proclamation de sa condamnation Ă  mort. Il dĂ©crit aussi les juges, les jurĂ©s, la salle d’audience, l’atmosphĂšre qui y rĂ©gnait et les gens qui ont assistĂ© Ă  son procĂšs. SĂ©duit par les lumiĂšres, par les couleurs, par les bruits, le narrateur chante la vie Ă  travers ses sensations et ses impressions dans une ambiance totalement contradictoire. Alors qu’il semble apprĂ©cier la vie dans toutes ses dimensions, les jurĂ©s le condamnent Ă  mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste Ă  ses yeux. RĂ©sumĂ© chapitre III Retour au monologue interne Le narrateur se livre Ă  une rĂ©flexion sur le bien-fondĂ© de sa condamnation Ă  mort. Il estime que les humains sont tous des condamnĂ©s Ă  mort. Ce qui diffĂšre c’est la maniĂšre et le temps. RĂ©sumĂ© chapitre IV Retour au rĂ©cit de l’incarcĂ©ration Ă  BicĂȘtre L’arrivĂ©e Ă  BicĂȘtre. En attendant son pourvoi =recours auprĂšs d'une juridiction supĂ©rieure contre la dĂ©cision d'un tribunal en cassation, le narrateur est conduit Ă  la prison de BicĂȘtre. De loin le prison ressemble Ă  un chĂąteau de roi mais de plus prĂšs elle est dĂ©labrĂ©e=en ruine, dans un trĂšs mauvais Ă©tat et vĂ©tuste =qui porte les marques de la vieillesse. RĂ©sumĂ© du chapitre V Suite du rĂ©cit de l’incarcĂ©ration Ă  BicĂȘtre Lorsque le narrateur est arrivĂ© Ă  BicĂȘtre, les gardes lui ont dĂ©fendu tout objet tranchant qui pourrait servir Ă  un suicide puis ils lui ont remis une camisole. Durant les premiers jours de ses sĂ©jours Ă  BicĂȘtre le narrateur a Ă©tĂ© bien traitĂ© mais battu par la suite comme n’importe quel prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont Ă©tĂ© acceptĂ©es comme le papier, l’encre, les plumes et une lampe. De mĂȘme, il pouvait sortir dans la cour chaque dimanche, ainsi il a cĂŽtoyĂ© les autres prisonniers et a appris leur argot. RĂ©sumĂ© du chapitre VI Alors le narrateur a dĂ©cidĂ© de noter son journal de chĂątiments. L’écriture devient une justification Ă  la vie terne et monotone de la prison. Il dĂ©cide d’écrire pour communiquer ses souffrances morales afin d’amener les dĂ©cisions a abolir la peine de mort. Il rĂ©alise Ă  qu’ il s’attache Ă  la vie. RĂ©sumĂ© du chapitre VII Le narrateur s’attarde sur sa situation et espĂšre qu’on s’intĂ©resserait un jour Ă  son cas. Mais l’idĂ©e de sa condamnation continue de l’obsĂ©der et le torturer RĂ©sumĂ© du chapitre VIII En attendant son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps Ă  compter les jours qui lui restent Ă  vivre, il lui reste donc six semaines. RĂ©sumĂ© du chapitre IX Le narrateur regrette de laisser derriĂšre lui sa femme, sa mĂšre et surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources. RĂ©sumĂ© du chapitre X Le narrateur dĂ©crit sa cellule, c’est une petite piĂšce Ă  quatre murs en pierre avec une voĂ»te et une petite porte en fer oĂč il y a une petite ouverture servant de fenĂȘtre. Il y a aussi un matelas en paille. A l’extĂ©rieur il y a un couloir qui relie les autres cellules et un garde permanent RĂ©sumĂ© du chapitre 11 Pour passer le temps le narrateur lit et tente de comprendre les inscriptions et les dessins sur les murs de sa cellule. AttirĂ© par des mots Ă©crits par un sous-officier guillotinĂ© pour ces idĂ©es rĂ©publicaines, il est pris de panique Ă  la vue de l’échafaud dessinĂ© sur le mur. RĂ©sumĂ© du chapitre 12 Le narrateur dĂ©couvre les noms de quatre criminels cĂ©lĂšbres passĂ©s par la mĂȘme cellule. Les sont Ă©crits Ă  cotĂ© du nom de Papavoine, un criminel qui tuait les enfants. Il est alors pris de terreur Ă  l’idĂ©e de la mort et du tombeau. RĂ©sumĂ© du chapitre 13 RĂ©cit des prĂ©paratifs au dĂ©part des forçats pour Toulon Le narrateur raconte qu’un jour la prison Ă©tait trĂšs agitĂ©e par le dĂ©part des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce spectacle Ă  travers une fenĂȘtre, le narrateur s’attarde sur la description de la grande cour de BicĂȘtre, des bĂątiments vĂ©tustes, des fenĂȘtres grillĂ©es et principalement sur les visages des prisonniers qui regardent Ă  travers ces fenĂȘtres. Le spectacle du dĂ©part commence Ă  midi avec l’entĂ©e =greffer d’une charrette transportant des chaĂźnes servant Ă  attacher les forçats et portant les habits qu’ils vont mettre pour le dĂ©part. Ensuite, les argousins Ă©tendent ces chaĂźnes dans un coin de la cour. Quand ce travail est fini, l’inspecteur donne l’ordre au directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour oĂč ils sont acclamĂ©s par les prisonniers / spectateurs. Puis on les prĂ©sente Ă  l’appel aprĂšs leur avoir fait passer une visite mĂ©dicale. Au moment oĂč les forçats se prĂ©parent pour mettre les vĂȘtements du voyage, une pluie torrentielle commence Ă  tomber. AccablĂ©s de froid dans leur nuditĂ©, les forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaĂźne dans des cordons que deux forgerons fixent Ă  leurs pieds et on leur donne Ă  manger. Ce spectacle dĂ©solant rend le narrateur enragĂ©, il tente de s’enfouir mais il n’arrive pas et s’évanouit sur le champ. RĂ©sumĂ© du chapitre 14 AprĂšs s’ĂȘtre transportĂ© Ă  l’infirmerie, le narrateur a repris connaissance, il s’est enroulĂ© ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donnĂ© l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le rĂ©veille. Conduit par des gendarmes Ă  cheval et des argousins Ă  pieds, le convoi prend dĂ©part pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misĂšres. Emu par ce spectacle dĂ©solant, le narrateur prĂ©fĂšre la guillotine Ă  la galĂšre. RĂ©sumĂ© du chapitre 15 Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idĂ©e de sa condamnation continue de le torturer moralement au point oĂč il espĂšre obtenir une grĂące car il tient Ă  la vie plus que jamais. Mais il est trop tard. RĂ©sumĂ© du chapitre 16 Quand le narrateur Ă©tait Ă  l’infirmerie, il avait entendu la voix d’une jeune fille de quinze ans chanter une chanson oĂč il est question d’assassinat et de mort. Il fut terrifiĂ© parce que tout est prison Ă  BicĂȘtre, tout lui rappelle la mort. RĂ©sumĂ© chapitre 17 Le narrateur rĂȘve d’évasion mais son rĂȘve ne peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©, il est interrompu par l’idĂ©e de l’incarcĂ©ration et de la condamnation. RĂ©sumĂ© du chapitre 19 Le directeur de la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour lui demander s’il se plaint d’un quelconque mauvais traitement. Pris de panique, le narrateur croit que l’heure de son exĂ©cution est venue. RĂ©sumĂ© du chapitre 20 TerrifiĂ©, le narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre Ă  moitiĂ© humain, Ă  moitiĂ© objet qui le torture, le boire et le tue. RĂ©sumĂ© du chapitre 21 A six heures et demi du matin le narrateur a Ă©tĂ© visitĂ© dans son cachot par un prĂȘtre puis par l’huissier officier ministĂ©riel chargĂ© de signifier les actes de procĂ©dure et de mettre Ă  exĂ©cution les jugements de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du pourvoi en cassation et son transfert Ă  la Conciergerie. RĂ©sumĂ© du chapitre 22 Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramenĂ© Ă  BicĂȘtre vers Paris, le convoi arrive Ă  Paris vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est dĂ©jĂ  attroupĂ©e pour ne pas manquer l’exultation. RĂ©sumĂ© du chapitre 23 Une fois arrivĂ© au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi d’une certaine libertĂ© qui n’a pas tardĂ© Ă  disparaĂźtre Ă  la vue des sous-sols. Remis par l’huissier au directeur, le narrateur a Ă©tĂ© enfermĂ© dans un cabinet en compagnie d’un autre condamnĂ© ĂągĂ© de 55 ans et qui attend Ă  son tour son transfert Ă  BicĂȘtre. AprĂšs avoir entendu l’histoire du vieux, le narrateur a Ă©changĂ©, par peur, sa redingote contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit Ă  une chambre dans l’attente de son exĂ©cution. RĂ©sumĂ© du chapitre 24 Le narrateur regrette amĂšrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur. RĂ©sumĂ© du chapitre 25 Le narrateur est amenĂ© ensuite Ă  une cellule oĂč on lui a donnĂ© une table, une chaise et tout pour Ă©crire. Mais on a installĂ© avec lui un gendarme pour empĂȘcher toute tentative du suicide. RĂ©sumĂ© du chapitre 26 Le narrateur a Ă©crit une lettre Ă  sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de vouloir laisser une enfant de trois ans orphelin. L’attente de l’exĂ©cution semble exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espĂšre un miracle pour le sauver. RĂ©sumĂ© du chapitre 27 Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point oĂč il n’ose pas Ă©crire le mot guillotine ». il imagine que son exĂ©cution sera atroce. RĂ©sumĂ© du chapitre 28 Ayant dĂ©jĂ  assistĂ© Ă  une exĂ©cution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Il croit que les prĂ©paratifs ont dĂ©jĂ  commencĂ© par le graissage de la rainure. RĂ©sumĂ© du chapitre 29 Dans un moment de dĂ©lire, le narrateur espĂšre la grĂące royale mais en vain RĂ©sumĂ© du chapitre 30 Le prĂȘtre est revenu consoler le narrateur et l’assister dans ces derniers moments. Le prĂȘtre qui exerce cette fonction depuis des annĂ©es se fait renvoyĂ© par le narrateur qui veut rester seul pendant sa rĂ©flexion. RĂ©sumĂ© chapitre 31 Dans ces derniers moments de retranchement, l’architecte de la prison est entrĂ© dans la cellule oĂč se trouve le narrateur pour prendre des mesures afin de rĂ©nover les murs l’annĂ©e suivante puis il Ă©change des propos avec le narrateur avant de se faire renvoyĂ© par le gendarme. RĂ©sumĂ© du chapitre 32 Le gendarme chargĂ© de surveiller le narrateur a Ă©tĂ© Ă©changĂ© par un autre, un superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur de le visiter dans ces rĂȘves, une fois mort, pour lui donner des numĂ©ros gagnants. Le narrateur lui demande en Ă©change ses vĂȘtements en vue d’une Ă©ventuelle Ă©vasion, mais le gendarme ridicule refuse et le dĂ©sespoir regagne le narrateur. RĂ©sumĂ© du chapitre 33 Le narrateur sentant l’heure de la mort approcher se rĂ©fugie dans le rĂȘve. Il retrouve des souvenirs d’enfance et de jeunesse en compagnie de sa bien-aimĂ©e la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir d’une soirĂ©e passĂ©e ensemble oĂč ils sont Ă©changĂ©s des bises. RĂ©sumĂ© du chapitre 34 Le narrateur retrouve dans le souvenir ses annĂ©es d’innocence mais il revoit en crime et tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le temps de le faire. Il en pense qu’à son heure qui approche. RĂ©sumĂ© du chapitre 35 Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent Ă  leurs taches quotidiennes. RĂ©sumĂ© du chapitre 36 Le narrateur se rappelle le jour oĂč il est allĂ© voir la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris. Au moment oĂč il est arrivĂ© au sommet de la tour, la cloche a sonnĂ© et a fait trembler tout le toit. Heureusement il a Ă©vitĂ© une chute mortelle. RĂ©sumĂ© du chapitre 37 Le narrateur revoit l’HĂŽtel de Ville dont l’aspect triste lui rappelle la GrĂšve au moment des exĂ©cutions avec les rassemblements des spectateurs. RĂ©sumĂ© du chapitre 38 L’heure de l’exĂ©cution approche, il ne lui reste que deux heures et quarante cinq minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs physiques atroces. RĂ©sumĂ© du chapitre 39 Le narrateur imagine comment il va vivre le moment de son exĂ©cution. Il vit ce moment par prĂ©vision. Mais le fait d’y penser le fait souffrir davantage. RĂ©sumĂ© du chapitre 40 PoussĂ© par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X en espĂ©rant une Ă©ventuelle grĂące. RĂ©sumĂ© du chapitre 41 Le narrateur dĂ©cide d’affronter la mort avec courage. Il imagine alors ce que sera sa vie aprĂšs la mort. Cela pourrait ĂȘtre des abĂźmes de lumiĂšres sans fin ou des gouffres hideux oĂč tout sera noir et oĂč le narrateur tombera sans cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se rassembler dans la place de la GrĂ©ve pour assister Ă  l’exĂ©cution du bourreau par un dĂ©mon. Le narrateur voudrait savoir ce qu’il adviendra de son Ăąme aprĂšs la mort. Dans ce moment de crise Ă  l’approche de l’exĂ©cution le narrateur rĂ©clama un prĂȘtre pour soulager sa douleur RĂ©sumĂ© du chapitre 42 AprĂšs l’arrivĂ©e du prĂȘtre, le narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait alors un rĂȘve Ă©trange il rĂȘve qu’il Ă©tait chez lui avec des amis, qu’ils avaient parlĂ© de quelque chose qui les avait effrayĂ©s puis ils avaient entendu un bruit dans la maison, c’était une vielle femme qui s’était cachĂ©e dans la cuisine. Au moment oĂč il a rĂȘvĂ© que la vielle le mordait, il s’est rĂ©veillĂ© puis on lui a annoncĂ© la prĂ©sence de sa fille. RĂ©sumĂ© du chapitre 43 Malheureusement sa fille ne l’a pas reconnu. Elle ne l’a pas vu depuis un an. Il a tentĂ© de lui faire comprendre qu’il est son vrai pĂšre mais la fille ne l’a pas cru. Rien ne le rattache Ă  prĂ©sent Ă  la vie. Il se laisse conduire Ă  la mort docilement. RĂ©sumĂ© du chapitre 44 Pendant l’heure qui lui reste Ă  vivre le narrateur se ressaisit et revoit dans son esprit comment sera son exĂ©cution. Il pense au bourreau, Ă  la foule, aux gendarmes et Ă  la place de GrĂšve. RĂ©sumĂ© du chapitre 45 Il imagine la foule en train de l’applaudir, une foule insensible Ă  ses souffrances. Il pense Ă  ce lieu fatal qui est la place de GrĂšve et Ă  toutes les tĂȘtes qui tomberaient aprĂšs lui dans l’indiffĂ©rence totale. RĂ©sumĂ© du chapitre 46 Il pense Ă  sa fille qui l’a dĂ©jĂ  oubliĂ© et veut lui Ă©crire une histoire. RĂ©sumĂ© du chapitre 47 Note Le narrateur n’avait pas le temps pour Ă©crire son histoire. RĂ©sumĂ© du chapitre 48 L’heure de l’exĂ©cution est arrivĂ©, on demande au narrateur de se prĂ©parer mais il se sent faible. On l’a emmenĂ© dans une chambre au rez-de-chaussĂ©e du palais de Justice oĂč son bourreau avec ses deux valets l’attendait. On lui a coupĂ© les cheveux puis on lui a attachĂ© les mains derriĂšre le dos et on a coupĂ© le col de sa chemise ensuite on lui a liĂ© les deux pieds puis on lui a nouĂ© les deux manches de sa veste sur le menton. On l’a pris sous les aisselles pour le conduire Ă  la guillotine. La foule est lĂ  qui attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi lĂ  pour accompagner le condamnĂ©. Mis dans une charrette avec le prĂȘtre, le narrateur frĂ©mit de peur devant cette foule enragĂ©e. Sur le chemin qui mĂšne Ă  la place de GrĂšve la foule s’est attroupĂ©e. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont- au- Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. AttirĂ© par une Tour, le narrateur demande au prĂȘtre des informations sur cet Ă©difice. Ce dernier lui a dit qu’elle s’appelle crucifix et le baise pour avoir du courage Ă  affronter la foule qui semble l’effrayer plus que la mort. Passant par le quai, le narrateur entre dans une sorte d’ivresse qui enveloppe son esprit et le coupe de la rĂ©alitĂ© au point oĂč il ne distingue plus rien. Son corps commence Ă  sentir la mort. Tout dĂ©file devant ses yeux sans qu’il puisse y accorder la moindre attention. Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive Ă  la place de GrĂ©ve, le narrateur demande alors une derniĂšre faveur Ă©crire ses derniĂšres volontĂ©s. RĂ©sumĂ© du dernier chapitre 49 PoussĂ© par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire chargĂ© de suivre l’exĂ©cution de lui accorder cinq minutes dans l’espoir d’avoir une grĂące au dernier moment. Malheureusement on est venu le chercher Ă  quatre heures de l’aprĂšs-midi pour l’exĂ©cuter. Fin RĂ©sumĂ© de l'oeuvre chapitre par chapitre 2 CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idĂ©e de la mort. Il est doublement enfermĂ©. Physiquement, il est captif dans une cellule Ă  BicĂȘtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idĂ©e condamnĂ© Ă  mort. Il se trouve dans l’impossibilitĂ© de penser Ă  autre chose. CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur se souvient de son procĂšs et de sa condamnation Ă  mort. Il relate les circonstances de son procĂšs et sa rĂ©action au verdict fatal. CHAPITRE3 Le condamnĂ© semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie oĂč tous les hommes sont des condamnĂ©s en sursis. Peu importe ce qui lui arrive. CHAPITRE4 Le condamnĂ© est transfĂ©rĂ© Ă  BicĂȘtre. Il dĂ©crit briĂšvement cette hideuse prison. CHAPITRE5 Le narrateur nous parle de son arrivĂ©e Ă  la prison. Il a rĂ©ussi Ă  amĂ©liorer ses conditions de prisonnier grĂące Ă  sa docilitĂ© et Ă  quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiquĂ© en prison. CHAPITRE6 Dans un monologue intĂ©rieur, le prisonnier nous dĂ©voile sa dĂ©cision de se mettre Ă  Ă©crire. D’abord, pour lui-mĂȘme pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins lĂ©gĂšres quand il s’agit de condamner quelqu’un Ă  mort. C’est sa contribution Ă  lui pour abolir la peine capitale. CHAPITRE7 Le narrateur se demande quel intĂ©rĂȘt peut-il tirer en sauvant d’autre tĂȘtes alors qu’il ne peut sauver la sienne. CHAPITRE8 Le jeune condamnĂ© compte le temps qui lui reste Ă  vivre. Six semaines dont il a dĂ©jĂ  passĂ© cinq ou mĂȘme six. Il ne lui reste presque rien. CHAPITRE9 Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derriĂšre lui sa mĂšre, se femme et sa petite fille. C’est pour cette derniĂšre qu’il s’inquiĂšte le plus. CHAPITRE10 Le condamnĂ© nous dĂ©crit son cachot qui n’a mĂȘme pas de fenĂȘtres. Il dĂ©crit aussi le long corridor longĂ© par des cachots rĂ©servĂ©s aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont rĂ©servĂ©s aux condamnĂ© Ă  la peine capitale. CHAPITRE11 Pour passer sa longue nuit, il se lĂšve pour nous dĂ©crire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissĂ©es par d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnĂ©e sur le mur le perturbe. CHAPITRE12 Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il dĂ©couvre les noms de criminels qui ont dĂ©jĂ  sĂ©journĂ© dans cette triste cellule. CHAPITRE13 Le narrateur- personnage se rappelle d’un Ă©vĂ©nement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison le dĂ©part des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet Ă©vĂ©nement comme un vrai spectacle en trois actes la visite mĂ©dicale, le visite des geĂŽliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain rĂ©servĂ© Ă  ces condamnĂ©s. A la fin du spectacle, il tombe Ă©vanoui. CHAPITRE14 Quand il revient Ă  lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenĂȘtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il prĂ©fĂšre plutĂŽt la mort que les travaux forcĂ©s. CHAPITRE15 Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de libertĂ© dans l’infirmerie mais voilĂ  qu’il est repris par l’idĂ©e de la mort qu’il pense Ă  s’évader. CHAPITRE16 Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de libertĂ© Ă  l’infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure, veloutĂ©e une chanson en argot. CHAPITRE17 Il pense encore Ă  s’évader. Il s’imagine dĂ©jĂ  en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilĂ  qu’un gendarme vient demander son passeport le rĂȘve est brisĂ© CHAPITRE18 Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande Ă  notre condamnĂ© ce qu’il dĂ©sire Ă  manger. CHAPITRE19 Le directeur de la prison vient en personne voir le condamnĂ©. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivĂ©e. CHAPITRE20 Le narrateur pense Ă  son geĂŽlier, Ă  la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers
 CHAPITRE21 Le condamnĂ© reçoit deux visites. D’abord celle du prĂȘtre et puis celle de l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejetĂ© et que son exĂ©cution aura lieu le jour mĂȘme place de GrĂšve. Il reviendra le chercher dans une heure. CHAPITRE22 Le prisonnier est transfĂ©rĂ© Ă  la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prĂȘtre et l’huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutĂŽt pensif. A huit heures trente, la carriole est dĂ©jĂ  devant la Cour. CHAPITRE23 L’huissier remet le condamnĂ© aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un condamnĂ© Ă  mort qui sĂ©journera dans la mĂȘme cellule Ă  BicĂȘtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamnĂ© Ă  mort lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote . CHAPITRE24 Le narrateur est enragĂ© parce que l’autre condamnĂ© lui a pris sa redingote. CHAPITRE25 Le condamnĂ© est transfĂ©rĂ© dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour Ă©crire et un lit. CHAPITRE26 Il est dix heures. Le condamnĂ© plaint sa petite fille qui restera sans pĂšre. Elle sera peut ĂȘtre repoussĂ©e, haie Ă  cause de lui. CHAPITRE27 Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud. CHAPITRE28 Il se rappelle avoir dĂ©jĂ  vu une fois monter une guillotine sur la place de GrĂšve. CHAPITRE29 Le jeune dĂ©tenu pense Ă  cette grĂące qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galĂšres seraient meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la grĂące. CHAPITRE30 Le prĂȘtre revient voir le condamnĂ©. Celui-ci est loin d’apprĂ©cier sa prĂ©sence. Ce prĂȘtre parle machinalement et semble peu touchĂ© par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit dĂ©licate et bien garnie, il ne peut manger. CHAPITRE31 Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort la prison va ĂȘtre rĂ©novĂ©e dans six mois. CHAPITRE32 Un autre gendarme vient prendre la relĂšve. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui aprĂšs son exĂ©cution pour lui rĂ©vĂ©ler les trois bons numĂ©ros gagnants Ă  la loterie . Le condamnĂ© veut profiter de cette demande bizarre il lui propose de changer ses vĂȘtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s’évader. CHAPITRE33 Pour oublier son prĂ©sent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de s’arrĂȘte longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il Ă©tait amoureux et avec qui il a passĂ© une belle soirĂ©e d’étĂ©. CHAPITRE34 Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamnĂ© pense Ă  son crime. Entre son passĂ© et son prĂ©sent, il y a une riviĂšre de sang le sang de l’autre sa victime et le sien le coupable CHAPITRE35 Le narrateur pense Ă  toutes ces personnes qui continuent toujours Ă  vivre le plus normalement au monde. CHAPITRE36 Il se rappelle ensuite du jour oĂč il est allĂ© voir la grande cloche le bourdon de Notre-Dame cathĂ©drale Ă  Paris CHAPITRE37 Le narrateur dĂ©crit briĂšvement l’hĂŽtel de ville. CHAPITRE38 Il est une heure le quart. Le condamnĂ© Ă©prouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq Ă  vivre. CHAPITRE39 On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamnĂ© dĂ©jĂ  exĂ©cutĂ© ne peut l’affirmer. CHAPITRE40 Le jeune dĂ©tenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grĂące tant attendue. Sa vie dĂ©pend d’une signature. Il espĂšre toujours. CHAPITRE41 Le condamnĂ© se met dans la tĂȘte l’idĂ©e qu’il va bientĂŽt mourir. Il demande un prĂȘtre pour se confesser, un crucifix Ă  baiser CHAPITRE42 Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se rĂ©veille frĂ©missant, baignĂ© d’une sueur froide. CHAPITRE43 La petite Marie vient rendre visite Ă  son pĂšre. Ce dernier est choquĂ© devant la fraĂźche et la belle petite fille qui ne le reconnaĂźt pas. Elle croit que son pĂšre est mort. Le jeune condamnĂ© perd tout espoir. CHAPITRE44 Le dĂ©tenu a une heure devant lui pour s’habituer Ă  la mort. La visite de sa fille l’a poussĂ© dans le dĂ©sespoir. CHAPITRE45 Il pense au peuple qui viendra assister au spectacle » de son exĂ©cution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-ĂȘtre des tĂȘtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination. CHAPITRE46 La petite Marie vient de partir. Le pĂšre se demande s’il a le temps de lui Ă©crire quelques pages. Il cherche Ă  se justifier aux les yeux de sa fille. CHAPITRE47 Ce chapitre comporte une note de l’éditeur les feuillets qui se rattachent Ă  celui-ci sont perdus ou peut ĂȘtre que le condamnĂ© n’a pas eu le temps de les Ă©crire CHAPITRE48 Le condamnĂ© est dans une chambre de l’hĂŽtel de ville. A trois heures, on vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de GrĂšve devant une foule de curieux qui attendent l’exĂ©cution. CHAPITRE49 Le condamnĂ© demande sa grĂące Ă  cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitiĂ©, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la grĂące. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espĂšre encore mais voilĂ  qu’on vient le chercher
 Arguments pour la peine capitale _ Un meurtrier prive un individu de sa vie. De quel droit et au nom de quoi ? _ Aucun individu ne peut se permettre d'une façon arbitraire de tuer, violer, etc. _ la peine de mort n'est pas un moyen de rĂ©pression mais une forme de prĂ©vention ou tout du moins de dissuasion. _ Si la vie est sacrĂ©e pourquoi laisser le droit a certaines personnes d'en faire ce qu'elles veulent ? _ En quoi une sociĂ©tĂ© se discrĂ©dite en adoptant la peine de mort ? _. Les crimes commis qui font mĂ©riter la peine de mort permettent-ils encore de considĂ©rer l’assassin comme un ĂȘtre humain ? Les droits de l’homme ne peuvent par consĂ©quent plus ĂȘtre invoquĂ©s quand on parle de peine de mort. _ Les erreurs judiciaires il ne faut pas non plus exagĂ©rer. Ils sont totalement fiables. OÙ La question de la condamnation des innocents n’est pas celle de la peine de mort, mais de la faillibilitĂ© de la justice. _. La peine de perpĂ©tuitĂ© est tout aussi inhumaine c’est condamner Ă  vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison Ă  perpĂ©tuitĂ©, le condamnĂ© perd le peu d’humanitĂ© qui lui restait, et devient un animal. _. Un meurtrier, un violeur etc. n’a jamais l’impression d’avoir fait du mal, on ne peut attendre qu’il mette lui-mĂȘme un terme Ă  ses jours _. Il n’existe aucune garantie que les condamnĂ©s Ă  mort ou Ă  perpĂ©tuitĂ© selon les pays ne commettront pas Ă  nouveaux leurs crimes s’ils sortent, mĂȘme trĂšs vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilitĂ©, mĂȘme si elle est infime. 4. mieux vaut une erreur judiciaire et la condamnation Ă  mort d’un suspect, que la mort de nouvelles victimes qui n’auront mĂȘme pas eu la chance de passer devant un tribunal. Il y aura toujours plus de victimes de rĂ©cidivistes libĂ©rĂ©s aprĂšs une peine plus ou moins longue, que de condamnĂ©s Ă  mort par erreur. _. Pour un criminel qui deviendra un ange, combien seront libĂ©rĂ©s sous serment et recommenceront une, dix, cent fois avant d’ĂȘtre repris ? _. La majoritĂ© de la population est pour son rĂ©tablissement en France _. Cela ne fait pas revenir la victime, mais au moins les familles de victimes sont apaisĂ©es, car elles savent qu’il n’est plus possible que ce mal frappe Ă  nouveau. _. il est choquant de payer pour des meurtriers que l’on garde en prison Ă  moins qu’ils ne paient leur dette contractĂ©e envers la sociĂ©tĂ© par des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©raux par exemple. _. un rĂ©cidiviste libĂ©rĂ© peut, dans sa vie privĂ©e, mĂȘme s’il se conduit bien dans sa vie publique, reproduire le cercle vicieux dont il a Ă©tĂ© lui-mĂȘme victime personne ne sera lĂ  pour vĂ©rifier qu’il ne bat pas ses enfants, ou pire, par exemple. Il s’agit donc aussi de casser ce cercle vicieux de la reproduction dont les psy nous parlent tant. _. nous ne savons pas si la peine de mort fait baisser le taux de criminalitĂ©, mais ce dont on est sĂ»r, c’est qu’elle ne le fait pas monter ! Son impact n’est certainement pas nul. Choisissons donc la solution dont nous sommes sĂ»rs. _. ce n’est pas ĂȘtre contre les droits de l’homme que d’ĂȘtre pour la peine de mort, puisque la perpĂ©tuitĂ© bafoue les droits et la dignitĂ© de l’homme 575 pers. en 9 _. beaucoup de pays dits non- dĂ©mocratiques’ ont aboli la peine de mort Angola 1992, AzerbaĂŻdjan 1998, Croatie 1990 , Équateur 1906, Georgie 1997, HaĂŻti 1987, Honduras 1956, Lituanie 1998, Mozambique 1990, Namibie 1990, NĂ©pal 1997, Nicaragua 1979, Roumanie 1989, Timor Oriental 1999, etc source Ă©cart-type ; Turquie 2002 source la Voix du Nord du _. Des pays dits dĂ©mocratiques ont encore la peine de mort les Etats-Unis surtout, pour certains Etats, ainsi que le Japon _. On fait de l’assassin la victime, en s’occupant de lui et en lui trouvant des excuses passĂ©, Ă©ducation, etc. _. Mieux vaut consacrer les ressources limitĂ©es dont notre sociĂ©tĂ© dispose hommes, temps, argent, etc. pour dĂ©velopper celles et ceux qui n’ont fait de mal Ă  personne et qui le mĂ©ritent largement plus, que de s’occuper des anciens meurtriers et violeurs, pour qu’ils reviennent dans le bon chemin. Ce site est rĂ©sĂ©rvĂ© pour les lycĂ©ens marocains;niveaupremiĂšre annĂ©e bac . PubliĂ© par Hassan El Mzarane. Ă©crit par Mr Daif Abdelaziz & Mme Fatiha Kerzazi. from Morocco . New education system of Morocco

le dernier jour d un condamné résumé chapitre par chapitre