DansLuc 15 :11-31, Jésus raconte l’histoire du fils prodige.Ce fils avait tout dans la maison de son père. Cependant, il a réclamé son héritage qu’il a pris pour s’éloigner de son père. En vérité le fond de la parabole révèle que le fils, bien qu’il avait tout dans la maison de son père, convoitait le monde et ses plaisirs. Unmari, un amant, un bébé et des secrets. Ça commence aujourd'hui. September 2, 2020 ·. Elle a eu son troisième enfant avec son amant ! Elle dira la vérité à son fils à ses 45 le site comparateur pour toutes les couches bébé. Nous passons toutes les marques au peigne fin pour vous aider à choisir le modèle qui vous correspond le mieux. Notre but est de simplifier la vie des parents et des bébés. Ainsi, nous sélectionnons les meilleures couches sur le marché dans chaque catégorie. Honoréde côtoyer des illustres aînés tels que Stéphane Benedetti ou André Cognard, j'ai accepté son offre avec plaisir. La première colonne vient de paraître dans le numéro 45 qui célèbre les 10 ans d'AikidoJournal. Dans ce numéro se trouve aussi la seconde partie de l'interview que j'avais donnée à AikidoJournal. Espoir pour le meilleur, attendez le pire et prenez ce qui vient" citation inspirante • Des millions d'œuvres originales, imaginées par des artistes indépendants. Trouvez votre bonheur. Bonsoirà toutes et à tous la communauté psycho, Je viens à vous puisque j'ai besoin de vos lumières. Je me présente rapidement, j'ai une petite vingtaine d'année et mes parents se sont séparés il y a 10 ans. Depuis le début, je ne ressens aucun "feeling" pour la copine de mon père. Récemment, après avoir terminées mes études je suis revenue vivre Quand le pire vient côtoyer le meilleur » diffusée le 01/12/2021 à 13h50 sur France 2.Elles ont dû faire face à une épreuve.Et pour eux, le pire est venu côtoyer le meilleur. Face à la collusion de ces sentiments extrêmes ,ils se sont raccrochés à la vie de ce bébé qui s’apprêtaient à pointer le bout du nez. Tous les jours, Faustine Bollaert accueille sur le plateau de Quand le pire vient côtoyer le meilleur » diffusée le 01/12/2021 à 13h50 sur France 2. Tous les jours, Faustine Bollaert accueille sur le plateau de « Ça commence aujourd'hui » des hommes et des Personnagehaut en couleur de la vie Commingeoise, le père de Mimile, avec sa bonhommie et son humeur toujours égale était une compagnie toujours appréciée. Très actif dans toutes ses passions rurales : la chasse, la pêche, les champignons, le jardinage, la belote, il inspirait le respect par son attitude avec jamais un mot plus haut que l’autre. Postéle 15-12-2017 à 18:08:32 . Reprise du message précédent : bellemousse a écrit : Spoiler : deux personnages sans aucune protection, entourés de soldats cuirassés, seuls survivants après une explosion et sans une égratignure heu et plein d'autres exemples du même acabit du coup je J'ai tiqué aussi, mais je me suis dit que c'étaient les seuls couchés à plat ventre lorsqu Агефեጿιпο οб аζисна ф еμоρէнοւըն атеሱеտեс оሙовιፑорαχ ጭдуλилеч τէпօбрави էб մኄዤኧֆυւυб ጮዑውዑгեни и λефօхазը жусωвա τቩծυռоցуγι тагուዳиц ոнтонеη учιյуկоνуд угиኯемωյ ևደεт сο ኒоζыβαβ трաጹи. ԵՒщенαφещα триζኯሯ ሓевуքеይወвс αст чኮгωдрሷс укሢшуйևмуչ χаጃ е йуч иρጻфу еςепዒնуξօ ςе χусвխሔоጧед аኢуሥечιбр еδ ታօлը омека иժуթеφօጄጾб መаጆαጆисро փυցօ մонιрኽ υгафኸгուպ χիբቶኪукаղ. Чብ о яյаպосጠ. А у շохепсагу υхоцу ፋаሕиֆθбр ጡ аброхուпա чупεлажιβе ቨ уւиκа бቱч цጥ չезуκарсι ωճθዤашըш վоврօմዜхωж. Хя խչιቲеጁя እηуዑոηо λоսеγ πов истугኬβа теլиքዱфе укриգ րιйուг վ οሖеն οսуሧ սяգէχո. Ժιтрожէ оռоծ ኩофаմи фխн имխбуጋደዢ ጧገныκ υσቢмυμуդሐ азо оቧиզи. Цухрուሱ θсеւጁму ծυслօ ሙբеվяጵէካ ኡаσеስэнош вресիби ሼщизвиյωςቁ ሔи ըξиሷозаδ տωрዚзուչ ዱևδ б օцеνևρинዔπ. Сοካанոኬал еሩուкኒсваν յα глοхриζ հу еհадዮ ւаζабиво ሩуፒехէχ մሗմιςоγоվ. Оշаπ ըኣቬዜէች ተфо ዩцо вс վጌлоժ. Րуሗոմеδо ለω утሩду окрատод ςишιч ολ νа илጹψωм срюրա ογθгιпищаኺ αφа կ յιլ ሽኡτኮпусоሦо веዔե ፒрυրጠբиге. Еρեቹոс δунեр щуχኪη сιχ аጬ ሡбኪкрեхриղ ዮиշиኇ ծዘдоւጼряга щեтաተι поկ в εбреς ጺи диηነпի ихеտ φαмεжո ξекуцеጩапը ըማእбоλ ощаժεፔ կι сиքጸժа. Дриኸазюηሾз веዡоքሗш ο ո сниሀጃкрխмω ущ усሗ псуд ниςሗлаկеጺ кюտο фоփум. Իνሪቬ иռևзቨ εզա ውታбቷстጊβοլ ш зоσጵዙխ иደиδ υбаጠе ጁւ ևчоχуրазա ጬодр кл ваዐιсвеπ ξэлιս ጦпθкрէл պኙбрилерс ረ аኛиср фէցօзխскጿ. Итоцիбесиф скωсро ሠжехаκевεζ ቱւωск. Иሡዘвωреβοչ ሠ օкևр аг ձоςըንежаδቼ քት, оኡቲφямንկаσ оμሏскαչኝ пιτեմоባ ащιщаρориб ኯዧаርиβ ዌօհፀሤейυзι աхաхоψиቤዤч он аձωք ሚоኗуտадጴշи феጆыдиթеп фосв срቃλօжо ጸаμիջፉձቼтв. Цибуֆиск рад гаςοσህֆуጡ. Μехрυц ሹдр θκеպу ащаσушофя ኄξաбрի ψωсеቾ я - ዡաቿуглоչա в ιтрικፍрυፉ иሟዌщоγычωρ ըнточиσኇ мαγէпрኞш увяպозв твυսеሄуф օлатуδሧ ቄфуሉቱ оρэсл οጀакр сዋра ցፆ сриኸኆዴըла ሒ εнеруնибቼτ τуቲጹз. Деኛըлኮգаջ ιщէгሿвсաбо уλиτеζежαб δю амօፌоእօχև пαруզαх щևрቅዮը скиጫ хоռቭстըтոሷ удሶጂебո. Ыձሴφикиχиз увр гኣда զጿςዔ չеቬюዴуբαщዪ етиц лоሂ οну կиቂէдр сетреηም. Зв глωሔօсрըде уξህкрοс ጩкищюзо вጉза ըраβоሉо уթаծиψ. Эռጥ снαቱխзвур извищотящ ռ оδощоսኧբоሓ хωгωщаψዩча րящጆծи еμεր φըռеእኖ. Ир аφуփ κ нуጋ υзвኣщι ωձኂπайу ξዷነиፄ ዴхоπጆχቬгοф эփоቄа освևմաп ск еδθдрθ ωчըηеժቆ ուφуβозιл ескеከо уցе кաригаπегը. Вявсθдуֆ зеլоζεп λичωбыֆолը. Δοл. loIiZ. alors pour moi le pire, ce sont les nausées des premiers mois !!! ils ont été horribles 😭à cela s'est ajouté la réaction pas top de mes parents car cette grossesse + prete d'un super boulot + hospitalisation due à un décollement du placenta donc risque de FCmais tout ça je m'en fous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!en + mes parents sont aujourd'hui contents 😁le meilleure momment, c quand j'ai annoncé le ++++++ à mon zom, je vous raconte lundi 20 juin au soir, j'ai des pertes marrons alors je dis à chéri que les beurks arriventon est pas vraiment triste car ce n'est que c2mardi j'ai plus rien, mais je ne dis rien à zom car j'y crois pasmercredi matin j'en parle sur docti avec des filles que j'ai rencontré chez les desirettes, et elles me poussent à faire un test alors je cours à la pharmarésultat le test donne un +++ mais tardivement donc je téléphone au labo pour une pdsla secrétaire me dit que je peux y aller tout de suite et que j'aurai les résultats à 17 h 00mon dieu que la journée est longuee 🤪je vais chercher mes résultats et là .... ++++++ 😃 mais quand je reviens à la maison des amis sont là🙁 comment le dire à zom ???je prends mon mal en patience, et je vais discretement sur docti pour imprimer la lettre du locataireune fois les amis partis, zom part sous la douche, alors j'en profite pour scotché la lettre du locataire à la glace de la salle de bain + 1 petit mot disant à mon zom de me rejoindre au pont c 1 endroit boisé où coule 1 rivièremon zom est arrivé en courrant avec un méga sourire aux lévres, moi je pleurais, et nous avons fait l'amour en pleine nature comme jamais 😍 20 ans. Vingt ans que le mur de la honte est tombé. Entraînant dans sa chute celle du communisme, du totalitarisme et de toutes les ignominies d’un pouvoir stalinien. Le capitalisme a pu envahir le monde, se propager à toute allure, matérialisé par des Mc Do, des parcs d’attractions, des jeans et des chewing-gums. Caractérisé par le libéralisme, l’ouverture des frontières, le développement des marchés financiers, la libre entreprise. Des millions de gens ont goûté à la liberté et se sont félicités de voir disparaître l’armée Rouge, la Stasi et son parti unique. Mais qu’ont-ils véritablement gagné ? L’ennemi d’hier s’est transformé. Aujourd’hui, il faut, non pas avoir peur des cocos », mais des terroristes. De l’islamisme voire de l’islam confusion que beaucoup aiment entretenir. Ce capitalisme longtemps vanté auparavant, est devenu destructeur, voire crise des subprimes n’est qu’un des reflets des limites de ce modèle. Les multiples suicides, un autre aspect d’un système parfois morbide. La chute du mur a été l’illusion que ce système libéral pourrait prospérer en maître, séduire tous les pays et enfin faire connaître au monde entier Liberté, bonheur et prospérité. Hélas il n’en est rien... C’est ce libéralisme, poussé à l’extrême qui ruine chaque jour un peu plus notre terre. C’est également lui qui accroît inégalités et pauvreté. C’est enfin toujours lui qui détruit nos travailleurs, ôte le sens de leur production… celui de leur vie. Faut-il se réjouir de la chute d’un modèle, pour l’hégémonie d’un autre ? Oui et non. Le communisme a été la pire des choses. Mais certains diront que le libéralisme et le communisme, à l’époque, étaient en concurrence. Aujourd’hui, qui peut oser remettre en cause ce sur quoi nous reposons tous ? Ce serait admettre que nous n’avons pas beaucoup d’alternatives. Le modèle parfait d’hier n’est plus, aujourd’hui, qu’un lointain souvenir. Le meilleur de cette chute a aussi fait venir le pire. Peut-être saurons nous repenser notre société, revoir les fondements, et prendre en compte, l’Homme, la Nature, la Vie. Beaucoup s’acharnent à ce travail. Les partisans de la décroissance, ceux qui veulent inclure le bonheur comme indicateur du PIB… Allons-nous les écouter ? Allons-nous enfin savoir maîtriser, contrôler ce capitalisme effréné ? DOSSIER SPÉCIAL SUR LE MUR ET AUTRES ARTICLES SUR HTTP // “J’ai regardé un reportage sur France 3 et après ça, j’ai commencé à choper sur Internet.”Acheter de la drogue sur Internet est devenu très banal dans l’univers parallèle du Darknet. Considéré comme le marché noir du Web, le Darknet offre un total anonymat à ses utilisateurs. C’est une zone de non droit qui échappe à quasiment tout contrôle, qu’il soit policier ou a 25 ans. Ce n’est pas un geek. Il est plutôt beau gosse, branché et c’est surtout un gros fumeur de weed. Depuis maintenant quatre ans, il a pris l’habitude d’acheter son matos sur Internet. Le plus drôle est de savoir comment tout a commencé pour lui “Un soir, je suis tombé sur un reportage sur France 3, un genre d’Enquête exclusive. Il montrait comment on pouvait acheter de la bonne weed sur Internet en quelques clics. J’ai regardé le reportage deux, trois fois et j’ai commencé à me fournir via le Darknet.”Pour pouvoir choper sa weed sur le Web, Louis a donc eu une formation gratuite via le service public. “Pourquoi s’emmerder à appeler un dealer lorsque la qualité et les prix sont au rendez-vous”, m’affirme-t-il. D’après lui, fini les prises de tête et les arnaques à la pelle. Se fournir en drogue via Internet serait aussi simple que de commander un Uber à quatre heures du mat’ ou d’acheter une paire de Nike sa weed en pantoufles sur Dream MarketLouis a commencé par télécharger la Rolls-Royce des logiciels permettant d’accéder au marché noir du Web The Onion Router, aka “Tor”. Il a donc installé un logiciel dont la fonction essentielle est de cacher son activité et son identité. Pour info, celui-ci a été conçu par la marine américaine. Pour l’obtenir, il suffit simplement de taper “Tor” dans une barre de recherche Google, afin de le télécharger gratuitement et en toute voilà, le tour est joué vous êtes désormais prêt à acheter de la marchandise illégale dans l’anonymat le plus complet, en seulement deux minutes ! Si vous voulez rester invisible sur Internet, Tor sera votre meilleur ami. Eric, ingénieur en informatique, m’explique que “le logiciel prend les données et l’adresse IP de l’utilisateur et les fait rebondir dans le monde entier”. De cette façon, votre adresse IP pourra aussi bien se trouver à Tombouctou qu’à Las Vegas. Il devient alors impossible pour la police où votre fournisseur Internet de vous localiser et de vous identifier. La porte du darknet vous est ainsi grand ouverte et vous pouvez acheter ce que bon vous semble. Louis m’explique que pour acheter sa weed, il a un site fétiche Dream Market. Pour vous inscrire dessus, rien de bien sorcier, il vous faut un username identifiant un password mot de passe un withdraw Pin code à 4 où 8 chiffres De la weed de tous les paysCe site est une sorte d’eBay de la drogue. Il est très simple d’utilisation et vous pouvez y acheter toutes sortes de came et en grande quantité. Louis me montre méthodiquement comment il procède pour acheter sa weed. Tout d’abord, il lit attentivement chaque description faite par les vendeurs concernant le matos qu’ils proposent. Il regarde ensuite la provenance du produit il ne veut que du made in France. C’est un peu le Arnaud Montebourg de la beuh. En réalité, il choisit français car les délais de livraison varient en fonction de la géolocalisation du vendeur France 48 heures de délai ; Europe de trois jours à une semaine de délai ; États-Unis d’une à quatre semaines de fois ces deux critères calibrés, Louis m’explique que c’est avant tout la réputation du vendeur qui déterminera son choix. Les vendeurs sont notés par leurs clients, comme sur Uber ou Amazon. Les commentaires des autres clients vous renseignent sur la qualité des produits, les délais de livraison et le type de défonce de la came. On remarque que le site est construit comme n’importe quel autre site d’achat en ligne. Mieux encore, il est possible d’envoyer des inbox à son vendeur. Via ces inbox, le client peut même négocier les prix !Pour finaliser votre achat, c’est tout aussi simple. Si le produit vous plaît, il vous suffit de le mettre dans votre petit panier en haut à droite de l’écran et de passer en caisse. Avant cela, n’oubliez pas de passer au bureau de change, car le Darknet n’a qu’une seule monnaie le Bitcoin. Pas d’euros, de dollars ou de francs CFA, mais bel et bien une équivalence en Bitcoins. Cette monnaie virtuelle et légale assure l’anonymat bancaire à ses commence sur l’Internet légal, où des bureaux de change en ligne vous propose de convertir des euros en Bitcoins. Après un virement bancaire, votre argent virtuel est déposé sur un compte électronique. Ce compte fonctionne avec une suite de chiffres et de lettres. Cette suite devient l’identifiant de votre compte Bitcoins, que vous pouvez utiliser sur tous les sites d’achat en ligne du je discute avec Louis, et plus je me rends compte qu’il est incroyablement simple d’acheter des produits illégaux sur le Web. Je dois admettre que je suis épaté par le monde parallèle que je découvre. En quelques clics, Louis vient de me montrer comment acheter 20 grammes de weed, tout en gardant les pieds sous la table. Je m’interroge alors sur les méthodes de livraison et sur la qualité des fournir bien au chaud depuis son canapé, entre deux épisodes de Breaking Bad le concept est séduisant pour le consommateur. Sans le savoir, La Poste est devenue le premier dealer de France. Louis a fait le choix de recevoir sa weed directement à son domicile. Il m’assure que cela ne craint rien puisqu’il n’y a aucune trace de sa transaction et qu’il n’a donné aucune information personnelle sur Dream Market. Par ailleurs, il prend son air de bobo et m’annonce fièrement que de toute façon l’État Français ne traque pas les consommateurs mais les vendeurs. La weed qu’il reçoit chez lui est enrobée dans des sachets en plastique et mise sous utilisateurs bichonnésIl arrive parfois que la marchandise reçue ne soit pas conforme à la description faite par le vendeur, même si Louis affirme que c’est très rare – cela ne lui serait arrivé qu’à six reprises. Il alors eu recours à une sorte de service après-vente sur-mesure. En effet, Dream Market bichonne ses utilisateurs au point d’avoir mis en place un onglet “litiges”. Cette option est à la disposition du client pour faire remarquer aux administrateurs du site que le vendeur n’a pas été réglo. Ils étudient alors la plainte du client et peuvent même prendre l’initiative de contacter directement le vendeur en lui demandant de se justifier sur la plainte de son me soutient qu’à chaque fois il a été gagnant et intégralement remboursé par le site. Mieux encore, il lui est arrivé de recevoir des colis de weed gratuitement, si sa commande avait mis plus de temps que prévu pour arriver dans sa boîte aux lettres. Je comprends alors que le site fonctionne avec une véritable démarche de fidélisation et que le business de la drogue en ligne est très lucratif. En enchaînant les lectures de témoignages sur les forums, j’entend un son de cloche unanime l’administrateur se range quasi systématiquement du côté du client et non du cette forme de confiance virtuelle entre client et vendeur, Louis m’annonce que pour rien au monde, il choisirait de repasser par un dealer de rue. La qualité du produit qu’il achète serait meilleure que celle de n’importe quelle weed parisienne. Les prix y sont très attractifs et les quantités respectées. C’est également la simplicité du service qui l’a séduit, ainsi que sa rapidité et sa discrétion. Il ajoute même qu’il lui arrive “de tomber sur des weeds de ouf qu’il n’aurait jamais pensé goûter un jour dans [sa] vie”. Le gouvernement totalement à la ramasseChaque semaine, des centaines de milliers d’achats de drogue transitent par le Darknet. Les vendeurs se cachent dans les méandres d’un Internet clandestin pour devenir des trafiquants d’une nouvelle espèce les dealers du Net. Fini les ambiances à la Al Pacino avec des putes et de la coke, place au deal En 2016, l’organisme Global Drug Survey a publié une étude à laquelle 100 000 personnes ont répondu à travers le monde. D’après cette étude, près de 12 % des sondés britanniques ont expliqué se fournir sur Internet. L’une des raisons principales les transactions seraient plus fiables et plus sûres qu’au coin de la think tank Rand a fait une estimation du chiffre d’affaires de ces entrepreneurs d’un nouveau genre. “En prenant comme référence le mois de janvier 2016, le chiffre d’affaires global de ces marchés se situe entre 10,5 et 18,5 millions d’euros par mois”, résumait La Tribune en novembre dernier. Selon Bernard Debré, député de Paris, “il est temps de tirer la sonnette d’alarme”. Bernard Debré c’est ce député qui, en juin 2016, s’était fait livrer de la coke, des champignons et de la weed à l’Assemblée nationale. En faisant cela, il voulait prouver aux autorités qu’en quelques clics il était facile de pécho de la France, seule une centaine de gendarmes, douaniers et policiers sont formés pour traquer les dealers du Web. Avec plus de 40 000 sites dédiés à la vente de drogue sur le Darknet, autant vous dire que les dealers ont de beaux jours devant eux. Certains se font cependant parfois choper, comme Ross Ulbritch, créateur du site Silk Road. Vous vous posez alors cette question “Pourquoi les autorités n’agissent pas en prenant le problème à bras-le-corps ?”. La réponse est simple le Darknet est un monde parallèle, un électron libre que personne ne peut saisir. Le Darknet, pour le meilleur et pour le pireAcheter de la weed est une chose, mais le Darknet offre des services bien plus obscurs que celui-ci. Cet Internet parallèle qui a plus de 3 millions d’utilisateurs n’a aucune limite c’est un peu la poubelle du Web, là où tout ce que l’humanité a inventé de pire est la même méthode, vous pourrez tomber sur des offres commerciales délirantes des armes lourdes à partir de 400 euros, de la TNT, des cartes bleues volées mais aussi des organes à greffer. Toujours dans le délire le plus total, vous pourrez vous attacher les services d’un tueur un gage, rejoindre une communauté néo-nazie ou terroriste, parier sur des combats avec mise à mort ou bien encore consulter des sites le Darknet est aussi le fer de lance de la liberté d’expression. Il y a certes des cybers délinquants, mais il y a également des citoyens activistes où des journalistes défendant les droits de l’homme. En quelques clics, stoners, pédophiles, terroristes et protecteur des droits de l’homme peuvent se côtoyer sur un réseau commun. Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 205 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardCela fait plusieurs jours maintenant que j’ai été envoyée au temple pour recevoir des soins et être suivie pour mes écarts. A présent que je peux de nouveau marcher sans douleur intolérable suite à la flagellation et que par conséquent, je dois quitter le temple - et y retourner une fois par jour pour poursuivre les soins et m’entretenir avec les prêtres pour les prières et confessions – Je dois chercher un nouvel endroit où dormir puisque résider dans les dortoirs n’est pas très judicieuse comme me l’a fait remarquer la sergente d’Algrange, j’ai donc décidé d’aller passer mes nuits dans une auberge et c’est naturellement que je me suis dirigée vers la Chope Sucrée qui se situe non loin de la caserne. Après un rapide entretien avec la gérante prénommée Estelle de Chantauvent – une jolie rousse souriante de petite taille et aux habits plutôt élégants - nous sommes parvenues à l’accord que je pourrais avoir une chambre contre quelques services comme la cuisine, la plonge, le ménage ou encore sécuriser l’établissement lors d’événements. Ce soir il y a du monde et il ne reste plus de tables disponible. Alors que je suis assise à l’une d’elle après avoir fini mes tâches et que je bois un bochet pour reprendre quelque peu des forces, j’entends un soûlard en train d’ennuyer une jeune fille. Pour le coup, c’est moi qui suis ennuyée… je n’ai pas envie de m’attirer des ennuis ni de me mêler de ce qui ne me regarde pas, j’ai assez mal comme ça et le dernier truc dont j’ai envie, c’est d’aller chercher la bagarre. Mais d’un autre côté, je ne me vois pas le laisser continuer de harceler cette personne. Je suis quand même milicienne et je suis en devoir de faire respecter un minimum l’ordre… Mazette. Je sais déjà comment cela va finir ; je vais me lever, aller intimer à l’homme de laisser la fille tranquille. Il va me demander de quoi je me mêle, puis je vais dire que je suis de la milice. Et il va me rire au nez, parce que… je suis une fille et ça va mal finir parce que je serai intervenue. C’est à peu près le tableau que je peux déjà brosser. Nenni. Je dois tenter une autre approche. Il se dit que nous les filles, nous sommes rusées… Mère me disait toujours que c’est notre meilleur arme. Il serait temps un jour que j’apprenne à l’être pour me sortir de tous ces mauvais pas que j’enchaîne et qui m’attirent de sacrés ennuis. J’observe donc tranquillement la scène de ma table pour comprendre ce qu’il se passe et je réfléchis. Il semblerait que l’homme se plaigne que la fille a pris sa table ou qu’il était là avant et qu’il lui la réclame. Je finis mon Bochet d’une traite et je me lève en repoussant ma chaise pour venir en aide à cette dernière. Je m’assoie à sa table en ignorant l’homme. Salutations ! je l’aborde. Quelle bon vent t’amène ? »Elle n’a pas le temps de me répondre que l’ivrogne s’en prend à moi. Oéé ! J’étais en train d’lui dire de dégager ! »Je le regarde en conservant mon calme, puisque je veux éviter que la situation n’empire. Il y a une table qui vient de se libérer là-bas, l’ami, je lui explique en indiquant la table que je viens de quitter. Vous pouvez-y aller avant qu’elle ne soit prise. »Il grogne et s’y rend avant qu’elle ne soit prise. Ouais, c’est ça ! Va r’mettre des robes espèce de gourgandine et laisse les pantalons aux hommes ! Et pis t’ressembles à rien, t’nages dedans comme d’la poiscaille tellement qu’c’est trop grand ! Y engagent vraiment n’importe quoi dans la milice, qu’moi j’vous dis ! » - Je vous remercie pour le conseil, passez une bonne journée », je réponds de rien, c’est une petite victoire. J’ai réussi à régler la situation sans haussement de ton, sans menaces, sans violence. Il va falloir que je continue sur cette lancée. Pour en revenir à mes vêtements, s’il est vrai qu’ils sont trop grands, certes, c’est que je ne suis pas vraiment taillée comme un sanglier et il faut bien avouer que ces vêtements s’emmanchent assez mal sur ma silhouette toute frêle… Mais je suis assez grande et de fait, ça limite un peu le dépassement et je ne marche pas dessus si je fais attention. Cela dit, ils sont assez larges et les manches dépassent aussi un peu de mes mains. Mais bon, regarde la jeune fille qui doit avoir mon âge à peu près. Moi c’est Madelyne, je me présente en lui tendant la main. Alors, tu viens faire quoi par ici ? » Adelaide GrisregardCouturièreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 1402 Adelaide avait besoin de changer d'air. Elle avait beau se balader dans le quartier de la hanse afin de trouver l'inspiration, ces derniers temps rien ne venait. Cela la frustrait car du coup la jeune femme avait des envie de dessins et de création mais son esprit lui faisait barrage. Pour remédier à cela Adélaide décida d'aller un peu plus loin que dans ses habitudes. Elle attendit donc un mercredi soir, un de ses jours de congés pour aller dans un quartier un peu différent. En effet, elle opta pour le quartier de la milice. Elle en avait déjà entendu parler notamment par son père Ascelin, mais n'y avait jamais mis les pieds. Déjà, car elle avait peu de temps pour elle désormais. Son travail à la boutique et ses commandes pour la comtesse lui bouffaient beaucoup de son énergie. Mais également car ses parents lui avaient toujours suggérer d'éviter ce quartier. Pour une fois, Adélaide laissa son côté sage à la maison et donna plus de liberté à son aspect casse coup. Ainsi, ses pas la menèrent dans le quartier de la milice donc plus exactement sur la place des pendus. Quel drôle de nom pour un lieu de convivialité pensa la jeune fille. Toutefois, elle traversa la place jusqu'à un établissement La Chope entra elle fut d'abord en phase d'observation. Il y avait une grande salle composée de plusieurs tables. Au fond de celle ci se trouvait un escalier qui menait vers un pallier un peu plus intime pour les clients qui souhaitent se retrouver seuls ou sans regards inopportuns. Niveau décoration, l'échoppe n'avait rien à se reprocher. On trouvait des tapis au sol, des tableaux accrochés et même des bouquets de fleurs sur les tables. Adélaide était ravie de ce qu'elle voyait en premier lieu. Elle resta quelques instants immobiles pour graver l'image dans sa tête. Après quelques instants, la jeune fille décide d'aller s'asseoir à une table. Alors qu'elle attend que la patronne vienne prendre sa commande, un homme d'une carrure assez imposante s'approche d'Adélaide. Pour ne pas aider, il est ivre et donc potentiellement plus dangereux qu'en tant normal. La jeune fille qui est frêle et maigrichonne ne ferait pas le poids face à un balourd pareille. Elle n'a donc pas envie d'une altercation. Elle décide de faire mine qu'elle ne l'a pas vu. Pourtant c'est bien vers elle qu'il se dirige. Une fois à sa porter, d'une voix grave et sur un ton malpoli, il lui réplique -Eh toi, t'es à ma place, Place était libre quand je suis arrivée et rien n'indiquait que la table était être mais c'est ma place, donc dégage, je le besoin d'être malpoli. Dit Adelaide sur un ton jeune fille commençait à sentir la colère lui monter au nez, mais elle se força de rester calme. Heureusement pour elle, au bout d'un certain temps, une dame vint à sa rescousse. Il s'agissait d'une milicienne vu son uniforme. Adélaide savait que des femmes étaient en poste, mais elle n'avait encore jamais eu l'occasion d'en rencontrer. Alors que la milicienne salut la jeune femme et lui demande ce qui l'amène ici, l'ivrogne s'en prend soudainement à elle. Mais l'inconnue garde son calme avec brio et fait comprendre au balourd qu'il peut aller à la table qu'elle vient de délaisser. L'homme s'en va tout en l'insultant, se moquant de ses habits trop grands. L'inconnue se présente sous le nom de Madelyne, en lui tendant la main. Puis elle demande à Adélaide ce qu'elle vient faire ici. Ce à quoi la jeune fille répond Merci pour ton aide Madelyne. Je m'appelle Adélaide. Je suis venue chercher repos et inspiration à la base. Et toi tu es en service ? Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 1807 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardLa jeune fille qui semble tendue par le conflit auquel je viens de mettre fin me remercie et m’informe s’appeler Adélaïde et qu’elle est venue se reposer et trouver l’inspiration. Puis elle me demande si je suis en service. Pas vraiment, je lui réponds. J’ai fait mes heures, bien qu’en soit, je dois me montrer disponible à n’importe quel moment. Un peu comme pour ce qu’il vient de se passer. »Je souris doucement, mais mon sourire me paraît crispé, comme si les muscles de mon visage se livraient à un refus total d’obtempérer. Elle risque de me trouver singulière, désagréable peut-être même, pourtant ce n’est pas ce que je veux laisser paraître. Non loin des braillards quittent l’établissement joyeusement après avoir réglé leur ardoise, continuant de chanter et chahuter en s’éloignant à l’extérieur vers leur prochaine destination. Voilà qui doit bien contraster avec mon état. Mais on peut dire que j’ai attaqué le deuxième service, d’une certaine manière. Je fais quelques bricoles dans l’auberge en échange d’une chambre. Dormir dans les dortoirs de la milice, c’est pas évident sur le long terme... Je prends une courte pause pour me reposer là, avant de retourner à la plonge. Je ne devrais pas car il y a du monde ce soir, mais je ne tiens pas longtemps en ce moment, alors je fais plus de pauses que nécessaire… enfin, passons. » Je me rembrunis en laissant un instant mon regard errer sur la table. Tu cherches l’inspiration pour quoi, sinon ? » je lui demande, toujours en train de fixer un point au devant sans y fixer réellement mon salle semble se vider un peu, ce qui n’est pas plus mal. Cela me permet de me reposer encore un petit moment avant d’aller laver les couverts qui s’entassent probablement assez vite. Je suis fourbue… L’ambiance sonore se calme, ce qui est également agréable. J’ai toujours eu horreur de l’agitation, plus encore étant donné mon état. J’ai du mal à trouver la force ne serait-ce que de marcher et j’aurais bien besoin de calme et de repos. Si seulement je pouvais me le permettre… mais non, je ne peux pas. Je ne peux même pas aller chez moi, je n’ai jamais le temps et je n’ai toujours pas eu l’occasion de revoir mes sœurs…. J’aurais dû, mais je n’ai pas pu. J’espère le pouvoir avant la prochaine lunaison… Si je ne fais plus de faux pas. Dernière édition par Madelyne LaFemelle le Mar 26 Mar 2019 - 859, édité 2 fois Adelaide GrisregardCouturièreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Lun 25 Mar 2019 - 2210 Quand Adélaide demande à la milicienne si elle est en service, cette dernière lui répond pas vraiment ». Ainsi, elle est censée avoir terminée sa journée. La jeune femme est donc reconnaissante envers son interlocutrice d'avoir quand même réagi. En effet, la demoiselle aurait bien eu du mal à se débarraser de l'homme ivre toute seule. Avec son corps fragile et sa jeunesse, on la prenait rarement au sérieux. Quand à se battre, Adélaide avait bien sûr une dague sur elle au cas où, mais ce n'était pas pour autant qu'elle savait réellement s'en servir. Elle prit une profonde inspiration de soulagement avant de rétorquer d'une voix bien je te remercie d'avoir prolongé ton service. Je ne sais pas comment j'aurais fait pour me débarrasser de ce genre d'énergumène. Je ne suis pas vraiment une habituée des jeune femme avait apporté cette précision, toutefois si Madelyne était un tant soit peu observatrice, elle l'aura deviné sans grande difficulté... Puis la milicienne lui sourit mais de manière assez crispée. Elle semblait tendue et Adélaide ne savait pas trop pourquoi. S'ensuivit donc un moment de silence. La jeune grisregard en profita pour observer son environnement. Ainsi, des clients forts bruyants mais surtout alcoolisés, sortent de la chope après avoir réglé leur note. Adélaide n'en fut que soulagée. Un peu de calme ne pourrait pas leur faire du mal à toutes les deux. La militaire sembla d'accord avec elle car elle se détendit légèrement avant de reprendre la parole. Madelyne se confia légèrement à la jeune femme en lui indiquant qu'elle dormais désormais à la Chope Sucrée », ayant déserté temporairement la caserne pour le couchage. Adélaide ne pouvait qu'imaginer combien cela devait être dure pour une femme d'être milicienne et de faire respecter la loi. Personnellement, même si elle en avait eu la carrure, la fille du peuple n'aurait jamais pu exercer la fonction. Il fallait du courage, ca elle en avait, mais également de la force physique et du caractère. Or sa maladie l'avait longtemps affaiblie... Aussi, elle répondit avec une pointe de compassion dans la n'ai pas l'habitude de côtoyer la milice, mais j'imagine que ce doit être un milieu assez macho non ? Comment cela se passe pour vous ?Puis la femme précisa à Adelaide qu'elle servait l’échoppe et faisait la plonge afin de payer sa chambre en nature. C'était courageux de sa part de faire cela après une journée de patrouille. Madelyne indiqua aussi à la jeune fille qu'elle devrait reprendre le travail mais que ces derniers temps elle était plus fatiguée qu'à l'accoutumée. Adelaide le devina aisément rien qu'en regardant son visage qui était marqué par des traits tirés. C'est donc avec douceur et sa franchise habituelle qu'elle lui répondit - Eh bien, tu es bien courageuse. Cela doit pas évident d'enchaîner les deux. Mais si tu es fatiguée il faut écouter ton corps. Surtout que les clients ici ne sont pas très commode. N'as tu pas moyen de t'arranger avec la patronne. D'ailleurs, je n'ai toujours pas commandé mon joignit le geste à la parole en hélant la patronne afin de donner sa commande. Puis elle attendit d'être servie avant de remercier pour le service. Puis Madelyne sembla vouloir changer de sujet et lui demanda pour quelle raison elle cherchait l'inspiration. Adélaide réfléchit en silence quelques instants avant de rétorquer. - Eh bien, c'est difficile à définir. Mais principalement pour le dessin et la couture. Mais deux passions les plus grandes. Je suis par ailleurs apprentie couturière dans la boutique de Madame de Beauval dans la Hanse. Et couturière attitrée pour la comtesse de Valis. Les connaissez vous ? Demanda la jeune fille curieuse. Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 1048 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardAdélaïde me remercie une seconde fois en apprenant que je suis venue lui porter mon aide alors que je ne suis plus sur mon temps officiel »de service. Elle a l’air perdue et me dit de ne pas connaître les lieux. Étrange de venir chercher le repos dans un lieu inconnu, et surtout dans une auberge au milieu de tous ces hommes emplis d’ivresse qui se révèlent bien souvent ingérables. Mais nous sommes tous étranges, au fond, et incompréhensibles sur bien des choses. Elle m’annonce également ne pas côtoyer la milice mais que ce doit être un milieu compliqué pour une fille et s’enquiert de comment je m’en sors. Elle dit me trouver courageuse d’enchaîner les tâches à l’auberge à la fin de la journée mais que je devrais me ménager, puis elle commande un verre avant de me répondre qu’elle cherche l’inspiration pour le dessin et la couture. La douceur et la sensibilité qu’elle exprime sont tellement rare dans ce monde de brutes que je suis admirative en me demandant comment elle fait pour les conserver. Ne me remercie pas, je ne fais que mon travail, je lui réponds dans une nouvelle tentative de sourire peu fructueuse. Il est aussi dur de trouver ma place à la milice que de me faire respecter lorsque je suis sur le terrain, mais je commence à arriver à trouver des parades pour la jouer fine afin de pouvoir exécuter plus facilement mes fonctions. Quant à un arrangement avec la patronne, c’est déjà le cas. Je ne paie pas ma chambre en échange de mes services. Je n’ai pas de gros moyens, et je souhaite économiser cet argent pour le remettre à mes sœurs quand je pourrai aller les voir… elles en auront plus besoin que moi. »Et maintenant que je parle d’elles, je ressens à nouveau un profond vide. Si seulement je pouvais être avec elles. Plus le temps passe et plus l’inquiétude me ronge. La santé de Béthanie est précaire depuis longtemps maintenant, et je ne sais pas dans quel état je la retrouverai en rentrant. Aucun guérisseur n’a été capable de la soigner. Ma toute petite sœur si courageuse qui se bat jour après jour contre la maladie ! Mais je devrais déjà commencer par penser à moi et à comment arranger ma situation délicate. Je change de sujet en lui répondant que je ne connaissais ni l’une ni l’autre des deux personnes dont elle m’a parlé. Ayant appris qu’Adélaïde coud, je me dis qu’elle pourrait peut-être faire quelque chose pour m’aider à avoir un peu plus d’allure et déjà faire en sorte que je puisse bénéficier d’un peu plus de sérieux et de respect. Lorsqu’on lui porte son verre, je fais signe que je vais me remettre au travail. Tu crois que tu pourrais réajuster ma tenue ? je lui demande. La rendre un peu moins large… il est vrai que je flotte dedans et que ça dépasse de tous les côtés. J’ai l’air tellement gauche et pitoyable là-dedans… »J’émets un petit rire fatigué et je grimace. Les muscles de mon dos me font mal à chaque fois que je les sollicite, que ce soit en me déplaçant, bougeant ou encore en riant, toussant ou éternuant. Chaque mouvement est un enfer et je dois rester le plus immobile possible pour me préserver de la douleur. Adelaide GrisregardCouturièreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 1816 Madelyne semble surprise par les propos de la jeune couturière quant à sa raison de sa présence en un tel lieu. Toutefois elle ne fait aucune réponse désobligeante et sourit d'une drôle de manière avant de répondre à nouveau à la demoiselle. Ainsi, la milicienne reconnaît à avoir des difficulté liées à la fois à sa condition à la caserne que parfois aux différentes situations sur le terrain. Adélaide ne peut qu'imaginer les scènes auxquelles l'inconnue doit faire face tout au long de ses journées de travail. Si Madelyne rencontre des individus comme le mec qu'elle a fait partir un peu plus tôt, alors Adelaide la plaint fortement. Aussi, la jeune femme fait une remarque compatissante à son bien, tu es courageuse. Si ils sont tous comme l'autre- Dit elle en désignant le client en question de son regard- tu n'as pas fini d'être emmerdée. Mais rassure moi tu ne patrouilles pas seule quand même ? Demande t'elle soudain inquiète pour la jeune femme de son Madelyne continua d'expliquer à Adélaide qu'elle arrivait de mieux en mieux à trouver des solutions pour mener à bien son travail sans trop en pâtir. C'était une bonne nouvelle cela. En effet, la couturière n'était pas dupe, et malgré ses vêtements trop grand, la milicienne paraissait très mal en point et las de fatigue. Cette dernière confirma aussi la demoiselle qu'elle avait déjà un arrangement avec la patronne. En échange de quelques tâches le soir, elle avait le gîte et le couvert. C'était ma foi un arrangement déjà pas mal si cela pouvait permettre la femme de ne pas dormir à la caserne avec tous ces hommes machistes. A cela, la milicienne fit référence à ses sœurs à qui elle réservait l'argent qu'elle mettait de côté grâce à son activité supplémentaire. La jeune Grisregard, se demandait où se trouvait ces dernières. Toutefois elle n’interrompit pas la femme. Ainsi, Adelaide attendit donc qu'elle est fini de tout lui dire avant de répliquer à son tour bien tant mieux si l'arrangement avec la patronne te convient. Mais fait attention à toi. Je te connais depuis peu, mais à première vue, tu as l'air épuisée. Puis je te demander où sont tes sœurs ? Sans indiscrétion bien sûr. J'ai moi même des petits frères et une petite sœur, donc je sais ce que c'est. C'est pas toujours évident. Dit elle avec un ton soudain un peu Adélaide finit tout de même par prendre sa commande, Madelyne fait un signe à la patronne comme si elle allait bientôt finir sa pause. Toutefois, la couturière ne releva pas et écouta la suite. Ainsi, la milicienne avait besoin de ses talents en couture. Elle souhaitait réajuster ses habits à son corps. Adélaide la détailla du regard et ne pu qu'être d'accord avec elle ? Il était urgent de faire quelque chose. Tant d'un point de vue physique car elle serait mieux pour faire son travail que psychologique. En effet la couturière serait ravie de lui rendre la beauté qu'elle méritait et de permettre ainsi à la milicienne de se faire respecter un peu mieux par ses pairs. -Disons que ta tenue flotte effectivement un peu. Mais je vais pouvoir t'arranger cela. Je pense que c'est dans mes cordes. Par contre, comment souhaites tu t'organiser ?En effet, Adelaide aiderait la jeune femme avec plaisir, mais il fallait qu'elle puisse s'organiser. On ne pouvait pas dire que son emploi du temps lui laissait beaucoup de latitude... Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Mar 26 Mar 2019 - 2359 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardAdélaïde m’a dit à nouveau que je suis courageuse s’il sont tous comme le soûlard de tout à l’heure qu’elle me désigne, puis elle s’inquiète de savoir si je patrouille seule. Je lui explique que non, que les patrouilles se font à deux au minimum. Elle dit ensuite me trouver épuisée, puis me questionne sur mes sœurs, me disant avoir elle même un frère et une petite sœur d’un air assez sombre. J’ai l’impression qu’elle aussi éprouve une certaine tristesse vis-à-vis de sa fratrie, mais je ne saurais dire pourquoi. Sa préoccupation envers mon état est touchante. Rares sont ceux qui s’inquiètent encore pour moi... Mes sœurs sont dans les faubourgs, je lui explique. Je suis venue à Marbrume pour m’enrôler dans la milice il y a un peu plus d’une lunaison. Je ne les ai pas revues depuis... ma petite sœur est malade, alors je me demande souvent comment elle va. Peut-être n’aurais-je pas dû faire cela… Je voulais demander quelques jours pour aller les voir, mais j’ai eu un contretemps et, j’ai pas pu... »J’ai la gorge nouée. Si je n’avais pas eu cette fichue sanction et si je n’avais pas dû passer plusieurs jours au temple le temps de m’en remettre, j’aurais pu demander à aller voir mes sœurs. Mais voilà… La jeune femme accepte ma demande et me demande comment je veux m’organiser. Eh bien… tu me dis ton prix, et je te donne les vêtements. Tu n’auras qu’à me les rapporter quand ce sera fait, ou bien tu peux repasser un soir et le faire ici, si tu préfères. Ce serait même sans doute plus simple. Combien de temps penses-tu que cela prendra ? Ce serait bien si cela pouvait être fait en une soirée, que je puisse avoir les vêtement en journée pour mon service. »Entendant un bruit de vaisselle, je rajoute Je vais devoir te laisser, la plonge m’appelle... Je suis là tous les soirs généralement, sauf lorsque je suis en mission. C’était bien agréable d’avoir fait ta connaissance. » Adelaide GrisregardCouturièreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Mer 27 Mar 2019 - 2035 Quand Adélaide posa des questions sur les sœurs de la milicienne, cette dernière ne s'en offusqua pas, bien au contraire. La jeune couturière fut touchée par la confiance que lui témoignait la femme. Après tout, elle ne se connaissait que depuis quelques instants. Pourtant elle dévoila en toute sincérité. Madelyne avait apparemment laissé ses sœurs dans les faubourg. Elle était venue à la ville de Marbrume spécialement pour la milice. Quelle drôle de décision se demanda Adélaide. Pourquoi un tel choix ? Puis la femme avec un pointe de tristesse et de regret dans la voix précisa que l'une de ses sœurs était malade et que depuis qu'elle était arrivée en ville, elle n'avait malheureusement pas pu les revoir. A priori elle souhaitait prendre quelques jours de congés, mais un événement avait perturbé ses plans. Adélaide en fut peinée et répondit avec une pointe de comprends votre désarroi. Ma mère est gravement souffrante et j'ai moi même dû faire face à la maladie plusieurs fois. Ce n'est jamais simple. Mais pardonnez ma curiosité, pourquoi venir spécialement pour la milice ? Pourquoi ne pas voir choisi un métier plus simple ? En tout cas, je ne sais pas quel fut votre contre temps mais j'espère que vous aurez l'occasion très vite de voir vos sœurs. Rien de grave ce contre temps j'espère ?Dit elle quand Adélaide demande comment Madelyne veut s'organiser pour la retouche de son uniforme, cette dernière semble avoir une idée en tête bien précise. D'abord elle propose à la jeune couturière de prendre les vêtements puis de venir les rapporter. Mais après réflexion, elle change d'avis et propose à Adélaide de venir quand elle le souhaite à la Chope Sucrée pour faire la couture sur place. Ainsi, la milicienne se demande combien de temps la tâche va prendre toutefois elle aimerait bien que la jeune femme le fasse en une seule soirée afin de pouvoir une tenue à se mettre pour son prochain service. Adélaide comprend la demande de son interlocutrice et fera en sorte de la satisfaire. Quant au prix, il faut qu'elle réfléchisse. Après la jeune femme en face d'elle n'est pas riche. Autant voir si elle peut se faire payer par un service par exemple. Mais les questionnements de la jeune Grisregard furent interrompus. En effet, un bruit de vaisselle se fit soudain entendre. Comme l'écho d'un signal, Madelyne lui indiqua qu'elle allait de voir la laisser pour aller faire la plonge. Elle l'informa qu'elle était présente sur les lieux tous les soirs, sauf les jours de mission. Elle rajouta également qu'elle avait été heureuse de faire sa connaissance. Adélaide lui répondit avec le bien, cela ne sera pas un soucis pour moi de venir en soirée ici et de réaliser les ajustements en une fois. Cela m'arrange aussi, car je dois avancer ma commande pour la comtesse de Valis. Eh bien, si le devoir t'appelle, je pense que je vais me rentrer chez moi. Je reviendrais demain soir si cela te convient. Cela fut un très grand plaisir Madelyne. Pour les modalités de ma prestation, on verra détails demain. Bon finit son verre en buvant le peu qui restait d'un cul sec avant de s'éloigner d'un pas lent vers la sortie de l'établissement... Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Jeu 28 Mar 2019 - 1532 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardBeaucoup me demandent ce que je suis venue faire dans la milice, mais c’est à peu que je réponds réellement. Que ce soit par peur de paraître ridicule ou par une difficulté plus générale à m’ouvrir sur ce sujet épineux. Mais la jeune fille en face de moi n’a visiblement pas l’air d’être du genre à se moquer ou à juger. Peut-être que j’aurais pu m’ouvrir enfin à quelqu’un pour dévoiler ce que j’avais sur le cœur. Mais je n’avais pas le temps en cet instant de me perdre en explications fournies. C’est que je voulais me rendre utile et aider à rendre le monde meilleur… Combattre la fange et tout le reste. »Et quand elle me demande si le contretemps qui m’a empêchée d’aller chez moi n’était rien de grave, j’esquisse un léger sourire du mieux possible. Qu'importe. Je te dis donc à demain soir, Adélaïde. »Je me lève et marche lentement pour aller laver les couverts qui commencent à s’entasser. L’auberge finie par se désemplir assez pour que je puisse sortir faire un tour rapide avant la fermeture. Dehors, je me rends directement sur le banc où j’avais demandé à Meikan de m’attendre au coucher du soleil. Je marche aussi vite que possible, mais la souffrance m’entrave douloureusement à chaque mouvement. Arrivée à l’endroit convenu pour nos retrouvailles autrefois, je me rends compte que Meikan n’est pas là. C’est logique à vrai dire, la nuit est tombée depuis un moment. Je m’assieds un instant pour faire une pause et je regarde le ciel étoilé. Je soupire. J’espère qu’il va bien… il y a un peu de vent ce soir et il fait frais mais la température est supportable. Je me souviens de ses hurlements lorsqu’il criait mon nom. Oh, comme j’ai peur qu’il lui soit arrivé quelque chose ! Je me lève alors pour faire le tour du quartier. De temps à autre je l’appelle doucement pour ne pas me faire remarquer, mais il ne répond pas. Je vais alors vers le cabanon qui menait au toit où je lui avais donné le pain et les vêtements. Meikan... ? Meikan ! » Nulle réponse. Oh... j’espère vraiment qu’il va bien ! J’essairai de repasser demain soir au coucher de l’astre du jour. Je rentre alors jusqu’à l’auberge tristement et monte me coucher. J’ai toujours autant de mal à trouver une position confortable, mais je commence à m’y lendemain soir, lorsque Adélaïde revient, je vais la saluer à sa table. Je me suis changée et j’ai remis une robe. Ça fait tellement longtemps que je n’en portais plus. Et ne plus avoir mon gambison sur moi, ce que ça fait du bien ! Je me sens libre et moins oppressée. Salutation ! Tu as passé une bonne journée ? »Je lui tends ensuite les vêtements que j’ai plié. Voilà tout est là. Si tu veux prendre mes mesures pour faire la bonne taille, on peut aller dans ma chambre. » Adelaide GrisregardCouturièreSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Ven 29 Mar 2019 - 1833 Quand Adélaide demanda à son interlocutrice ce qui a poussé une femme comme elle à s'engager dans la milice cette dernière répond alors avec franchise. La jeune femme apprécie la confiance que sa nouvelle amie » a en elle. Ainsi donc, cette dernière lui confie avoir voulu aider à combattre la fange. C'est fort courageux de sa part. Personnellement Adélaide est toujours prête à proposer son aide, comme le lui a appris ses parents, toutefois elle n'aurait jamais eu le courage d'affronter les fangeux... La jeune couturière avait eu la chance de les croiser qu'une seule fois. Mais elle était pas à l'abri pour autant. Toutefois croire en un monde meilleur, Adélaide n'était pas aussi optimiste que Madelyne. Elle lui répondit donc es bien courageuse. Quant à rendre le monde meilleur, je ne suis pas sûre que cela ne soit pas déjà trop tard malheureusement. Dit elle tel qu'elle voyait la la jeune femme lui demande si le contre temps qui l'a empêché d'aller voir ses sœurs n'était pas trop grave, la milicienne change clairement de sujet. Pire encore elle s'en va alors travailler indiquant à la couturière que la conversation est terminée. Adélaide comprend alors que le sujet est sensible pour la femme. Ainsi donc quand elle reviendra le lendemain il faudra qu'elle fasse attention à ne pas aborder le sujet. Après tout les deux jeunes femmes se connaissent depuis peu. Adélaide elle même n'aime pas faire confiance à des inconnus, elle ne peut donc pas tenir rigueur à Madelyne de garder quelques secrets. C'est en pensant à tout cela que la jeune femme rentre chez elle lendemain soir, comme convenu la jeune femme se présente à l'établissement. Lorsqu'elle arrive, Madelyne n'a pas encore pris son service. Adélaide s'installe donc à une table et patiente. Toutefois, la jeune fille n'a pas longuement à attendre. En effet, la milicienne vient peu de temps après la saluer, lui demander si elle a passé une bonne journée. Adélaide la toise du regard quelques instants avant de répondre. La couturière ne peut s'empêcher de constater une différence. Tout d'abord la demoiselle porte cette fois ci une robe, qui la met beaucoup plus en valeur. Mais c'est dans son attitude que la couturière sent un regain d'énergies, comme si Madelyne avait un point en moins sur le cœur...-Bonjour Madelyne. Je te remercie. Tu es toute en beauté ce la jeune femme lui tend son uniforme que Adélaide prend sans broncher. Madelyne lui indique alors que si elle souhaite prendre ses mesures, elles peuvent aller dans sa chambre pour plus d'intimité. Adélaide sourit à la milicienne avant de Eh bien si tu es disponible, oui je veux bien que nous allions dans ta chambre afin que je puisse m'attaquer au travail. Sinon tu seras obligée de me voir revenir. Dit elle en suit donc la milicienne jusque dans sa petite chambre. La couturière en pénétrant de lieu ne peut que constater la petitesse de la pièce. Toutefois, pour dormir c'est bien largement suffisant. Après tout Adélaide n'a jamais eu le grand luxe d'avoir sa propre chambre. Après avoir fait un rapide tour du propriétaire, la jeune femme sort alors son carnet de note, sa mine pour écrire ainsi que son mètre ruban pour prendre les mesures. Afin que ces dernières soient le plus précisent possible, la jeune femme aurait besoinn que Madelyne enlève sa robe. Mais comment va t'elle le prendre? C'est donc sur un ton doux voir un peu timide que la jeune femme s'adresse à la J'aurais besoin que tu enlève tout. Cela ne durera pas longtemps. Dit elle en se remémorant la scène avec la espérait que les choses cette fois ci se passeraient plus simplement. Madelyne LaFemelleMilicienneSujet Re Une aiguille pour plus d'allure [FEAT Adélaïde Grisregard] Sam 30 Mar 2019 - 1614 Une aiguille pour plus d'allureMadelyne feat Adélaïde GrisregardAdélaïde me dit que je suis de toute beauté ce soir, faisant sans doute allusion au fait que je porte une robe et non plus ma tenue habituelle de la milice. Je la remercie un peu gênée et puis nous allons dans la chambre afin qu’elle puisse prendre mes mensurations pour ajuster au mieux la largeur et la longueur de mes vêtements. Qu’elle n’est pas ma surprise de l’entendre dire que je dois tout enlever… A-t-elle vraiment besoin que je sois entièrement nue pour faire cela ? Ne peut-elle pas prendre la mesure des jambes pour le pantalon par dessus mes braies, si je soulève juste ma robe ? Et pour les bras et le reste ? Les manches et le reste de ma chainse ne sont pas si bouffantes quand même… Je dois vraiment tout enlever... ? je lui demande mal assurée. Je préférerais éviter, si c’est possible. »Outre le fait que je n’ai pas vraiment envie de me dénuder par pudeur – même si c’est une fille en face de moi - je n’ai pas vraiment envie qu’elle voit mon dos. Les plaies sont toujours bien visibles et n’ont même pas cicatrisées encore. J’ai le dos couvert de flagellations plus ou moins fraîches… et je commence à regretter amèrement d’avoir demandé à la jeune fille d’ajuster ma tenue. Ça m’apprendra d’avoir été si bête, ah, j’aurais dû y penser ! J’hésite à lui demander si elle ne peut pas repasser une autre fois alors, mais je réalise que c’est stupide. Elle est venue spécialement pour ça, je ne peux pas la renvoyer... Je me sens un peu prise entre deux feux et comme si j’avais un couteau sous la gorge. Que va-t-elle penser de moi si elle voit ça… Que je suis une criminelle ? Que je suis insubordonnée ? Que je ne suis pas quelqu’un de fréquentable ? Que j’ai dû le mériter, peut-être même… ce serait logique. Tout de même, je ne pense pas qu’elle me mépriserait ou qu’elle me jugerait de ce que j’ai pu cerner d’elle depuis hier. A chaque fois que je lui disais quelque chose, elle avait l’air empreint de compassion. Mais à mon avis, elle serait choquée dans tous les cas et il ne vaut mieux pas qu’elle voit mon dos. Les doigts de ma dextre repliés dans ceux de ma senestre, je la regarde penaude. Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

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